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L’avenir de la religion entre Durkheim et Weber.

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Par   •  7 Décembre 2021  •  Résumé  •  932 Mots (4 Pages)  •  449 Vues

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Ici nous est présenté un article écrit par Gregory Baum, professeur à la faculté des sciences religieuses de l’Université McGill, paru dans la revue les nouvelles pratiques sociales, l’article se nomme L’avenir de la religion entre Durkheim et Weber.

L’article est introduit par une courte explication de l’utilité et de la possible pertinence de ces deux sociologues d’époque dans l’évolution de la spiritualité et de la religion dans l'actuelle société.

Ici, seule la première partie concernant Émile Durkheim sera résumé. En premiers lieux Baum expliqué ce qu’est le monde selon Durkheim, pour le sociologue l’humain à un certain besoin de vie en société, partant du principe que la société nous crée, elle nous offre donc une identité, une identité qui devient inévitablement sociale amenant à un développement de l’intelligence commun faisant de nous ce qu’il nomme des êtres éthiques, il amène à cela, le fait que d’une certaine manière la religion est également une société mais qui contrairement à la société objective de base, prend une forme plus subjective et symbolique se développent plus consciemment, comme le revers d’une pièce.

Baum continue en se concentrant sur la religion d’après le Durkheim, expliquant que le sociologue avait une fascination pour le principe de religion et sa place chez l’homme, le sociologue développe ici le principe de religion en tant que société mentale donc moins objective, il explique que le besoin de religion vient d’une certaine peur humaine de l’abandon de la société de base, amenant la religion comme une sortie de secours rassurant est plus inébranlable puisque subjective, le penseur né put malheureusement pas expliciter comment il le souhaitait ce sujet de par l’évolution de la société devenant moderne et rendant ainsi certain point trop obsolète, malgré tout partant du principe que la société devenait plus lucide d’une certaine manière, il fut persuadé que par ce fait chaque société créait sa religion commune, malgré l’évident prolifération de ce qu’il nommait la religion pathologique venant d’un culte de la personnalité amené par les religions communes, pour lui ce que nomme Rousseau comme la religion civile, était inévitable. Baum met après cela en corrélation le cas du Canada, pays multiculturaliste n’ayant par ce fait pas de mythe national rapprochant correctement une communauté comme le ferait une religion civile, malgré tout le Québec semblé déroger à la règle puisque le pays lui en est doté.

Après cela Baum s’intéresse à l’indenter collective d’après le sociologue. Selon Durkheim l’humain étant attaché à l’identité collective répond instinctivement à une menace de celle-ci, si elle apparaît, créant des idées extrémistes dans l’idée que celle-ci protégera d’une certaine manière la culture et donc leur identité collective sans la dénaturée, essayant de conserver le traditionnel qui est la base de leur culture, Certaines manières de se protéger d’un changement, ramenant inévitablement à une peur du changement, Durkheim pointe d’ailleurs le fait que l’humain ayant peur du changement et n’arrivant pas nécessairement à s’adapter à celui -ci devient lui-même différent en réponse à ce qu’il ne connaît pas.

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