Du marbre à l'écran
Fiche de lecture : Du marbre à l'écran. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Aïda Joly • 4 Décembre 2019 • Fiche de lecture • 467 Mots (2 Pages) • 786 Vues
Du marbre à l’écran
Corinne Chabaud et Gilbert de Terssac
Texte sur les clavistes dans un journal régional connu.
On ne s’intéresse dans cette étude qu’aux personnes travaillant de nuit (19:30-1:30) et celle attenant jour et nuit sur leurs heures effectuées la nuit également.
La production requise n’ai jamais atteinte car - retard des copies
- problèmes techniques
- interruptions
- = de manière plus générale des conditions de travails qui diffèrent de celles prévues
On remarque également que la saisie en conscience n’est pas standardisé par la charge de travail n’est pas évaluable.
On voit également que les différents facteurs de perturbations arrivent plus ou moins fréquemment selon la période de la journée, de manière plus ou moins longues.
=> Fluctuation de l’environnement et de ces conditions lors des périodes de saisies = fluctuation de la productivité
De plus, même en conditions normales, les quotas ne sont pas atteints : mise en place d’un nouveau quota effectif 20% inférieur à celui prescrit qui devient compte tenu des conditions aléatoires la normes réellement requise même pour l’administration/supérieurs.
La productivité est plus faible dans des conditions rigides que dans un milieu avec des interruptions et des saisie en conscience = « entre la production atteinte et la performance des opératrices il n’y a pas de relation directe »
SOCIO 1
En effet, interruption/saisie en conscience = hausse de la saisie pour rattraper le retard or les clavistes, en plus de rattraper leur retard diminue l’écart entre la productivité réelle et espérée.
La marge de manoeuvre que l’on leur laisse (malgré eux) leur permettent d’être plus autonome et diminue la monotonie de leur travail.
Distinction travail prescrit (comment le faire, les quotas...)/travail effectif (comment se rapprocher au maximum de ce qui est prescrit compte tenu des clés; si encadré avec un chef connaissant les conditions de travail, cela devient le travail simplement attendu : la tâche attendue).
La prescription est basé sur un essai dans des conditions stables et ne tient pas en compte les aléas de l’environnement de travail et les caractères des employés qui peuvent également influé sur le déroulement du travail demandé.
Le travail effectif met en lumière les comportements non prescrit mais adoptés comme la régularisation de la vitesse de frappe par les opérateurs pour se rapprocher au maximum de leur productivité attendue.
Le texte met en lumière les limites de la prescription : il n’existe pas « one best way » car le travail en lui même et ses conditions ne peuvent pas être toujours les mêmes et monotone (prescription incomplète mais ne pouvant pas l’être) : création d’une marge de liberté pour les opérateurs qui mettent en place des règles implicite ainsi que des comportements effectifs qui s’appuie sur leurs conditions de travail. Les aléas provoquent une mise en place informelle plus efficace et rationnelle qui permet
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