Évolution des dépenses entre 2001 et 2006, deux constats
Fiche de lecture : Évolution des dépenses entre 2001 et 2006, deux constats. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 28 Février 2014 • Fiche de lecture • 292 Mots (2 Pages) • 580 Vues
D'après l'évolution des dépenses entre 2001 et 2006, nous pouvons faire deux constats :
De nombreuses dépenses culturelles sont en nette baisse notamment la consommation de musique qui a été quasiment divisée par deux, puis des baisses d'environ 20% pour les spectacles vivants, les photos et le cinéma ainsi que la presse.
Au contraire, on constate quelques légères augmentations de consommation pour les livres, les magnétoscopes et vidéos, la micro-informatique. Les abonnements télévisuels augmentent de 20% mais la plus forte hausse est réservée aux services de connexion internet puisqu'elle est presque trois fois plus importante (elle a fait un bond de 184% sur 5 ans).
La plupart des ces augmentations dépendent surtout d'un seul facteur qui est la technologie.
En effet, l'évolution technologique entre 2001 et 2006 a eu des conséquences sur notre consommation surtout via internet. Celle-ci a entraîné le développement de la micro-informatique et dont ses abonnements à la connexion ont grandement augmenté ainsi que ceux de la télévisions car de plus en plus de chaînes TV sont maintenant payantes et ont notamment un monopole sur certains programmes (sport,film,info,humour).
Mais internet a aussi un effet pervers sur la consommation, à cause du téléchargement illégal : ce qui se traduit par une baisse de la consommation de musique, de photo et de cinéma. Grâce aux sites internets, on peut maintenant lire des articles en ligne ce qui entraîne donc une baisse de la consommation de la presse.
Seules quelques dépenses culturelles restent stables comme les équipements télévisuels dont la plupart des personnes en possède déjà ou les livres qui sont en légère augmentation.
En conclusion, selon l'époque à laquelle on se trouve, notre consommation change et engendre une baisse de dépense dans certains secteurs mais crée de nouveaux besoins et donc aussi de nouvelles dépenses.
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