Quels sont les sources de la croissance économique ?

Dissertation – Quels sont les sources de la croissance économique ?

L'économie française a subi une récession (baisse du PIB sur le cour therme) massive en 2020 sous le coup de l'épidémie de Covid-19, avec une chute du produit intérieur brut (PIB) de 8,3 %, selon une première estimation publiée vendredi 29 janvier 2021 par l'Insee, qui est toutefois moins mauvaise que ce qu'anticipait l'institut. L'Insee prévoyait en effet un plongeon du PIB d'environ 9 %, mais l'économie française a mieux résisté au deuxième confinement à l'automne, avec un recul du PIB de 1,3 % sur le seul dernier trimestre. Cette baisse du PIB suite à l’épidémie du Covid-19 nous apportent alors une question, Mais d’où viens la croissance économique ? Pourquoi es qu’elle baisse ou augmente cette croissance économique qui se traduit par l’augmentation de la production sur une longue période ? Nous allons répondre à cette question en 3 partie. La première traiteras majoritairement des 2 sortes de croissance, la croissance extensive et la croissance intensive. Nous verrons dans la deuxième partie les sources du progrès technique exogène, l’innovation et les gains de productivité qui contribue selon certain économiste à la croissance économique d’un pays. Puis pour finir en troisième partie nous verrons les sources du progrès technique endogène, le rôle des institutions et l’investissement qui pour certain économiste sont source de la croissance économique.

Premièrement, produire nécessite d’employer des moyens techniques et humains dans le processus de production. Une fonction de production est la quantité de biens et de services ( outputs) qu’il est possible d’obtenir par la combinaison de facteurs de production (inputs). Elle s’écrit sous la forme : Y= f(K,L). Les facteurs de production représentent l’ensemble des ressources utilisée dans la production et qui ne sont pas détruites durant ce processus ( exclusion des consommation intermédiaire). Ils se composent premièrement du Travail (L) qui sont les ressources humaines mesurées par les effectifs de salariés embauchés ou le nombre d’heures de travail utilisés. Deuxièmement le capital (K) qui représente les B&S de production utilisée durablement ( machines, dépenses de recherche, locaux…). On parle aussi de capital technique ou encore fixe. La croissance extensive représente l’accroissement de la production résultant de l’augmentation des quantités de facteurs utilisés : augmentation du facteur travail ou du facteur capital. Un des premier facteur de la croissance extensive correspond à l’accroissement de la contribution du facteur capital à la croissance . Pour cela , plusieurs levier sont possible notamment le 1er qui est d’augmenter la quantité de travailleurs : cela passe par l’augmentation de la population active occupée, le nombre d’emplois : baisse du coût du travail, augmenter le taux d’emploi, report de l’âge légal de départ à la retraite ( de 60 à 62 ans), développement de l’apprentissage cher les jeunes… Le deuxième levier correspond à l’augmentation de la durée de travail : supprimer les 35 heures, favoriser les heures supplémentaire ( le « travailler plus pour gagner plus » de N. Sarkozy en 2007), libéralisation du marché du travail ( faciliter le travail le dimanche permis par les lois Macron en 2016… Un second facteur de la croissance extensive correspond à l’accroissement de la contribution du facteur capital à la croissance. Pour cela il faut investir : l’investissement correspond au dépense visant à accroître le stock de capital : technique : achat de machine, logiciel, locaux, ordinateur, dépense de R&D…. ou encore humain : dépense de formation de la main-d’œuvre.

Ensuite, plus de machines et de travailleurs mieux formé, permet de produire d’avantage, il faut donc augmenter ce qu’on appelle le taux d’investissement de l’économie ( Investissement divisé par le PIB et le tout multiplié par 100). Pour investir il est nécessaire d’avoir de l’épargne ; il faut donc épargner . Néanmoins, la croissance est surtout extensive dans les pays qui débute leurs processus de croissance et en plus le stock de capital fixe y est faible. Au contraire dans les pays développer il faut trouver une autre source de croissance car ses pays ont atteint la frontière technologique

en effet dans les pays développée, la contribution du facteur travail à la croissance est destinée à se réduire / à diminuer (de plus le taux de natalité baisse et la durée du travail baisse aussi). La contribution du capital à la croissance va poser problème en raison de la loi des rendement décroissant.

« augmenter le stock de capital, augmente la production dans un premier temps, mais ensuite si le facteur travail n’augmente pas dans les mêmes proportion pour utiliser le capital, ce dernier devient de moins en moins productif ». à facteur travail constant : augmenter le facteur capital, augmente la production dans un premier temps mais ensuite la production diminue donc la croissance aussi.

Pour continuer, parfois ce qui est produit ( Y)(inputs) peut augmenter plus vite que les facteurs utilisé pour produire (K&L)(outputs), c’est ce qu’on appelle le résidus et ce résidus de production viens du fait que la combinaison des 2 facteurs à été + efficace. C’est ce qu’à pu observé Robert Solow lors de ses études basées sur l’observation de la croissance du PIB, du facteur travail ( le nombre d’heures travaillées et la productivité) et du capital ( stock d’équipement) . Ces études montrent qu’une partie importante de la croissance observé n’est pas expliquée par l’augmentation des facteurs du travail et du capital. La croissance s’explique par un facteur inconnu qu’il nomme la PGF ( productivité globale des facteurs). Cette PGF permet de mesurer l’accroissement de la production qui n’est pas due à un accroissement de la quantité d’un facteur utilisé. L’accroissement de la PGF est attribuable au progrès technique et aux innovations. Comme nous le montre le document 2 d’après l’OCDE sortie en 2021. Ce document nous présente le taux de croissance du PIB en % et contributions à la croissance du PIB (en point de%) de la France, de la Corée du Sud et des États-Unis entre 2010 et 2019. On y apprend que le Taux de croissance annuel du PIB Français était de 1,8 % en 2010 et parmi ces 1,8 %, 0,9 point de % représente la contribution de la PGF, soit la moitié de la croissance. La France à donc , en 2010, connue une croissance économique du majoritairement à la productivité global des facteurs. Autre exemple : La Corée du Sud en 2012 à connue une croissance

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