OMC Et Influence de l'adhesion a L'OMC Sur Le Vietnam
Mémoire : OMC Et Influence de l'adhesion a L'OMC Sur Le Vietnam. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cocohello106 • 22 Mars 2014 • 3 466 Mots (14 Pages) • 888 Vues
ÉCOLE SUPÉRIEURE DU COMMERCE EXTÉRIEUR
FACULTÉ DE FRANCAISE
TRAVAIL DE RECHERCHE
L’OMC ET INFLUENCE DE L’ADHESION À L’OMC SUR LE VIETNAM
Nom et prénom : NGUYỄN Văn Hoàng
Classe : Francais 2 – Commerce extérieur
Promotion : 50
Sous la direction de : Madame NGUYỄN Diệu Thái
Hanoi, 1 juin 2013
INTRODUCTION
De nos jours, la mondialisation et l’internalisation est une tendance du monde entier. L’association entre les pays leur apporte des nouvelles opportunités pour développer l’économie et la société.
Parmi les organisations associées, l’OMC est la plus grande organisation où réunissons de différents Pays membres. Depuis qu’elle a été fondue en 1995 jusqu’à maintenant, l’OMC ne cesse pas d’augmenter l'étendue et l'échelle en affirmant son rôle dans la libéralisation du commerce international. À travers le système de conventions, de clauses, de pourparlers, l’OMC a établi des règles et des lois pour régir les relations commerciales entre les pays.
D’après les recherches réalisées, l’adhésion à l’OMC influencerait sur les activités d’exportation et d’importation de notre pays. Il y aura des grandes opportunités : les produits Vietnamiens peuvent pénétrer dans le marché mondial.
À côté les opportunités, l’adhésion à l’OMC provoque aussi la concurrence entre les entreprises vietnamiennnes et étrangères. Les règles et les lois de l’OMC ne donne pas toujours les avantages et l’égalité pour les Pays membres, surtout les pays en développement comme le Vietnam. Les savoirs sur l’OMC, sur les opportunités et les défis posés par cet adhésion sont vraiment importants pour que le Vietnam puisse desvelopper stablement sur le marché mondial.
CONNAISSANCE GLOBALE DE L’OMC
1. Définition
L'OMC, c'est avant tout un cadre de négociation. Elle est essentiellement un lieu où les gouvernements Membres se rendent pour essayer de résoudre les problèmes commerciaux qui existent entre eux. La première étape consiste à discuter.
L'OMC est le fruit de négociations et tout ce qu'elle fait est le résultat de négociations. Les travaux menés actuellement par l'OMC découlent en majeure partie des négociations qui se sont tenues de 1986 à 1994, dénommées le Cycle d'Uruguay, et de négociations antérieures qui ont eu lieu dans le cadre de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT). L'OMC accueille actuellement de nouvelles négociations, dans le cadre du “Programme de Doha pour le développement” lancé en 2001.
Lorsque les pays se sont heurtés à des obstacles au commerce et ont voulu les réduire, les négociations ont contribué à libéraliser le commerce. Mais l'OMC ne s'emploie pas seulement à libéraliser le commerce, et dans certaines circonstances, ses règles favorisent le maintien d'obstacles au commerce - par exemple pour protéger les consommateurs ou empêcher la propagation d'une maladie.
2. Histoire de l’OMC
L’OMC est née le 1er janvier 1995 mais le système commercial qu’elle représente a presque un demi-siècle de plus.
En 1948, l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT: the “General Agreement on Tariffs and Trade”) établissait les règles du système, dont le cinquantième anniversaire a été commémoré lors de la deuxième réunion ministérielle de l'OMC, qui s'est tenue à Genève en mai 1998.
L’Accord général a rapidement donné naissance à une organisation internationale officieuse, existant de fait et aussi dénommée officieusement GATT, qui a évolué au fil des ans à travers plusieurs cycles de négociation.
De 1948 à 1994, l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) a constitué les règles régissant une grande partie du commerce mondial, au cours de périodes pendant lesquelles le commerce international a enregistré quelques-uns de ses taux de croissance les plus élevés. Il semblait solidement établi mais tout au long de ces 47 années, il était un accord et une organisation provisoires.
La conférence de La Havane a débuté le 21 novembre 1947, moins d'un mois après la signature du GATT. Pendant près d’un demi-siècle, les principes juridiques fondamentaux du GATT sont restés pour l’essentiel tels qu’ils étaient en 1948. Des adjonctions y ont été apportées sous la forme d'une section sur le développement, ajoutée dans les années 60 et d’accords “plurilatéraux” (c’est-à-dire à participation volontaire) dans les années 70, et les efforts se sont poursuivis pour continuer à réduire les droits de douane. Pour une large part, les résultats obtenus dans ce domaine ont été rendus possibles par des séries de négociations commerciales dénommées “Cycles”. Les plus grands progrès réalisés dans la libéralisation du commerce international ont été accomplis à l’issue de ces cycles de négociations tenues sous les auspices du GATT.
Les premiers cycles de négociations commerciales étaient axés sur la réduction des droits de douane. Vers le milieu des années 60, le Kennedy Round a abouti à l’Accord antidumping du GATT et à une section sur le développement. Dans les années 70, le Tokyo Round a été la première tentative majeure visant à remédier aux obstacles au commerce autres que les droits de douane et à améliorer le système.
Le dernier et le plus important des cycles du GATT, le Cycle d’Uruguay, qui a duré de 1986 à 1994, a conduit à la création de l’OMC. Alors que le GATT régissait principalement le commerce des marchandises, l’OMC et ses Accords visent aujourd’hui le commerce des services ainsi que les échanges d’inventions, de créations et de dessins et modèles (propriété intellectuelle).
Malgré son caractère provisoire et son domaine d’action limité, le GATT a incontestablement réussi, pendant 47 ans, à promouvoir et à assurer la libéralisation d’une grande partie du commerce mondial.
Mais
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