Macroéconomie et anticipations

L’introduction des anticipations permet de raisonner sur les effets d’annonce des banques centrales qui conditionnent le comportement des agents selon une logique bayesienne. Autrement dit, on évalue ex-ante la réputation et la crédibilité de la BC mesurée par l’écart entre les objectifs annoncés en terme de ciblage inflationniste et les effets réalisé (l’inflation observé). Si l’écart est faible, la réputation est forte et réciproquement. Dans le cadre des effets d’annonce, la réputation est mesuré par la crédibilté de la parole donnée. Autrement dit si la BC fait ce qu’elle dit, la réputation est forte et réciproquement. Dans upsilon, il y a aussi des variables institutionnelle, la cohérence et consistence dans le temps (les indicateurs de solvabilité des pays, leur capacité de remboursement, leur capacité à tenir leur engagement). On a aussi d’autres variables tel que le risque politique. Si on affaire à des pays qui sont instables ou qui basculent d’une autocratie militaire à une démocratie, on voit une baisse de la réputation. Les notations sur les pays du printemps arabes (Tunisie) leur risque politique ce sont accrus. On arrive à un cynisme, si c’est un dictature avec stabilité, la réputation est forte (cas de l’Argentine lorsqu’il y a un coup d’états, les IDE augmentent). Pour les jeunes démocraties, les programme économiques peuvent être complètement différents. Les indicateurs de corruption que l’on trouve au FMI qui pèse négativement, et la lutte contre la corruption impacte positivement. Ce différentiel de taux. Le produit entre crochet, c’est lariation ou le cours de change anticipé par les agents, si cette expression est positive, cela signifie que la valeur du cours de change en t+1 à l’incertain est supérieur au cours de change réellement observé en t. Il y a donc dans ce cas de la part des agents, une dépréciation anticipé et donc une dépréciation de la devise.

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