Les États-Unis

Les États-Unis

Aux États-Unis le travail est généralement organisé de façon à minimiser le risque d’erreurs causé par la manipulation humaines dans la production. Ce type de travail minimise les besoins de formation et rend les employés interchangeable d’un poste à l’autre. Avec la nation du work rules, qui est d’inspiration taylorisme, les syndicats ont mis en place dans les conventions des défition très précise des postes de travail. Les emplois sont centrés sura définition du poste de travail. Ceci est venu pour diminuer la façon arbitraire qu’avez les directions d’appliquer ses choix en matière de liens d’emplois. Par contre, tranquillement de nouvelles approches d’organisation de travail font leurs apparitions. Ces approches se veut d’améliorer la relation entre les employeurs et les employés. L’organisation se fait de plus en plus de façon participative et les tâches sont définies plus largement et les empoyés participent à la gestion de l’entreprise. Le travail est organisé de façon particulière sur les division de tâches et cela a influencé la structure des syndicats américains. Les principaux acteurs sociaux, tel les syndicats et les associations patronales, sont touchés par cela et la division du travail est parfois remis en question.

L’idéologie de libre entreprise qui gère le monde du travail aux États-Unis renforce l’acceptation de la règle d’emploi de gré à gré. Le patron peut alors décider seul du nombre d’employés qu’il a besoin pour le travail à faire. Chaques années des milliers d’Américains sont congédiés pour des raisons qui ne sont pas économique. Il existe un gouffre énorme entre les entreprises syndiquées et non syndiquées, dans ces dernières le système de gré à gré est toujours bien présente. Ce système a par contre évolué et a beaucoup changé. Aujoud’hui, il est difficile d’établir les tendances dominantes et de les définir : la diversité et l’adoption de certaines lois, comme l’Equal Opportunity Act, qui interdi la discrimination à l’embauche, la loi sur le salaire minimum sont en d’autres responsable de cela.

L’État américain intervient très peu dans dans le domaine de la formation. L’importance de la formation dans les entreprises varie donc en fonction de la stratégie d’entreprise qu’elle adopte. Les américains sont généralement porté sur les valeurs individualistes et ont passé leur scolarité à vouloir performer et être les meilleurs. Alors, une fois sur le marché du travail, ils ont de la difficulté à travailler en équipe et faire en sorte que le groupe puisse récolter les fruits du travail au lieu d’une seule personne. Généralement, sauf en cas de changement important, la formation offerte aux employés est sur le « tas ».

La comission Cuomo a, en 1988, étudié les conditions de compétitivés des entreprises aux États-Unis et a retenus comme une des conclusions que dans un context de mondialisation la réduction des coûts ne consituait pas une solution.

Concernant la gestion des ressources humaines, après la guerre le mouvement syndicale prescrit des règles de gestions en ressources humaines comme par exemple l’ordre de liecenciement.

Allemagne

Premièrement, le système de formation en Allemagne est assez unique : il existe un programme, où 60% des jeunes allemands participent, qui dure trois ans et demi et débouche directement à l’obtention d’un diplôme d’études professionnelles. Durant ces trois années et demi, les jeunes passeront environ en moyenne 2 jours à l’école et 3 jours dans une entreprise de leur choix en lien avec leur dommaine d’étude. À la fin de ces 3 ans, des examens relevant de la chambre de commerce, de l’école publique et de l’institut de formation professionnelle sont exigés pour l’obtention et la réussite de leur dipôme. De plus, les employeurs gagnent beaucoup à investir dans ces apprentis, car les compétences utilent pour travailler dans l’entreprise s’enseignent à un frais moindre que de l’enseigner à un nouvel employé déjà diplomé.

Ce système d’éducation joue un rôle important dans le recrutement et la sélection des

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