Les habitudes de pensée - analyse

Introduction:

1. Les habitudes de pensée :

• Economie ( libérer un espace de pensée grâce à l’habitude)
• Dimension sociale ( trop prévisible, Normatif)
• Exceptions qui casse les clichés et les mets en évidences
• L’arbitraire te l’aspect conventionnel

Aussi utile que ça peut être dangereux !

Elles fonctionnent à l’intérieur d’une communauté. Elles établissent des mondes particuliers et prévisible. C’est quelque chose qui nous balisent, qui nous oriente.

b. Annie Arnaud :

1907-1975. Allemande.

« Le mal, c’est quelqu’un qui ne veut plus penser et désengage sa responsabilité »

Les clichés, les phrases toutes faites, l’adhésion à des codes d’expressions ou de conduite conventionnelle et standardisé, on socialement la fonctions reconnu de nous protéger de la réalité de cette exigence de penser, que les événements et les faits éveille en nous en vertu de leurs exigence.

La réalité, les habitudes de pensée nous protège. La réalité est en excès par rapport à notre petit monde calme. On ne vit pas dans le réel mais dans notre petit monde prévisible d’habitudes de pensée. Elles nous protège de la vulnérabilité subjective et au niveau sociale, identitaire, on ne se remet plus nous en question mais les militants. On pointe du doigts mais on final, on est compris dedans.

-> Exigence de la pensée révélée par les faits/ événements, on pense savoir , trier les info:

1. Faits
2. Reconnecter ces faits à des faits plus larges pour qu’ils fassent sens.
3. Comment penser ces faits ?

Marx : Baser une économie sur la marchandise.

c. Cerveau

Penser = énormément de choses.

Cerveau gauche scientifique et droit artistique : STEREOTYPE ! On dévalorise les parties du cerveaux et on les associes à des classes sociales basses. On catégorise la société par tranches de pensée via leur intelligence.

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