Les fluctuations économiques

Les fluctuations économiques ce définissent par l’ensemble des variations de l’activité économique au cours du temps, sans précision sur le rythme et l’intensité des mouvements ascendants ou descendants.

La croissance économique est par exemple une fluctuation économique de longue période, mais elle se retranche en plusieurs phases de plusieurs décennies, soit d’expansion économique (augmentation du PIB) ou de ralentissement (ralentissement ou décroissance). Ces fluctuations économiques sont identifiées par l’économiste russe Kondratieff.

Dans ce cycle long ont distinguent des cycles courts pouvant causés une hausse du chômage ou encore de l’inflation.

Or ces phases de récession et de croissance n’arrivent pas seules. Diffèrent critère peuvent être pris en compte mais nous allons ici nous demander comment peut-on expliquer ces fluctuations économiques par la variation de la demande globale qui ce définit par l’ensemble de la demande intérieur et extérieur des différents biens et services pour l’ensemble des marchés d’un pays (consommation des ménage, investissement, dépenses publics, exportations et importations).

Pour structurer ce raisonnement, j’ai décidé d’abord de montrer l’importance de la variation de la demande globale sur les fluctuations économiques, pour ensuite rebondir sur les autres aspects à prendre en compte pour expliquer ces fluctuations économiques.

Développement :

Les fluctuations économiques sont résultat des variations du PIB, la demande est un facteur important du PIB.

On peut constater sur le document 1 que la chute de l’évolution de la consommation (1,7% en 2007 et 0,5% en 2008) a causé la chute du taux d’évolution du PIB (2,3% en 2007 et -0,1% en 2008).

La FBCF subit plus de variation mais contribue moins aux variations de la croissance que la consommation.

Par exemple en 2009, sur 2,7% de baisse du PIB, s’expliquent la chute de l’investissement (-2%) (doc1).

Ce phénomène touche principalement les pays développés comme sur la période 2002-2011, les années de croissance faible se caractérise par une baisse de la FBCF (comme 2002)

Et les années de récession de l’évolution du PIB par une baisse encore plus rude de la FBCF (comme en 2009), au contraire, lorsque la croissance augmente comme en 2003 2004, l’investissement augmente fortement (doc2 et 3).

Selon Keynes, les fluctuations conjoncturelles de la croissance se traduisent par la demande anticipée par les chefs d’entreprises, ou demande effective.

Les entreprises doivent donc évoluer en investissant pour augmenter les capacités de production.

Ces investissements vont donc permettre à l’entreprise de produire plus et mieux en fonction de la demande, ce qui va augmenter la demande donc la consommation.

Vice versa, si les ménages subissent un enrichissement, la demande va s’accroitre et les entreprises vont donc devoir augmenter leur capacité de production en investissant. Ce qui va permettre aux entreprises de produire plus, donc augmenter l’offre pour satisfaire la demande.

Les entreprises vont donc aussi s’enrichir

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