Le prix et les décisions économiques
Analyse sectorielle : Le prix et les décisions économiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gaetgaet • 20 Février 2014 • Analyse sectorielle • 1 906 Mots (8 Pages) • 561 Vues
CHAPITRE 1 : Le prix et les décisions économiques
Sciences Economiques : Sciences Sociales qui étudie comment les hommes satisfont leurs besoins à partir de ressources productives rares en produisant directement ou indirectement (en investissant) des biens et services qui permettrons une distribution de revenus favorisant la consommation (les revenus non consommés étant épargnés celle-ci pouvant financés l’investissement).
Introduction:
1/ Si la libre concurrence n’est pas respecté les consommateurs ne pourront pas arbitrer entre différents producteurs et subiront certainement l’imposition du prix élevé par les quelques producteurs présent sur le marché. Le manque de choix pour les consommateurs peut concerner également la qualité.
2/ Si le prix du carburant augmente cela peut influencer les décisions des agents économiques, les constructeurs auto peuvent envisager la mise au point de véhicule électroniques dont le prix d’achat élevé serait compenser en terme de baisse de carburant. L’exploitation du pétrole de Schiste peut devenir rentable malgré des coups de production élevée. Les consommateurs, le signal-prix peut être le suivant : utilisation des transports en commun de plus en plus envisagé, réduction des trajets dans le cadre des loisirs…
3/ La métaphore de la main invisible d’Adam Smith (1723-1790) montre qu’un individu recherchant son intérêt personnel développe l’intérêt général. Stiglitz montre que cela n’est pas toujours vérifier en évoquant les PDG des sociétés financières aux Etats-Unis cupide (recherchant des manières avides leurs intérêts personnels entrainent une prise de risques sur les marchés financiers débouchant sur la crise de septembre 2008 et une crise économique mondiale en 2009). Dans ce cas, lorsqu’il y a des profits ils sont réservés aux sociétés financières en question mais pas à la société par contre puisque le faîte des sociétés financières entrainerait un blocage de l’économie et quelles sont « sauvées » par les états ont peut parler dans ce cas d’un partage … des pertes.
1723-1790 : A.SMITH Ecole CLASSIQUE
1818-1883 : K.MARX Ecole MARXIENNE
1834-1910 : L.WALRAS Ecole NEOCLASSIQUE
1883-1946 : J.KEYNES Ecole KEYNESIENNE
I/ La formation du prix du marché
A/ Une confrontation de l’offre et de la demande
(Document 1)
1/ Marché : Lieu de rencontre réel ou fictif d’une offre et d’une demande. Ex : Le mondiale de l’auto à Paris
Offre : Proposition commerciale qu’un vendeur fait à un client ou qu’une entreprise lance sur un marché ou à un ensemble de client. Ex : Constructeur
Demande : Quantité d’un certain produit demandée par les acheteurs pour un prix donné. Ex : consommateurs
La flexibilité des prix doit permettre le retour à l’équilibre sur le marché. L’offre de travail correspond à l’offre de force de travail des actifs.
OFFRE de travail = DEMANDE emploi
DEMANDE de travail = OFFRE emploi
Si les taux d’intérêts ne sont jamais négatifs par contre les taux d’intérêts réel peuvent être négatifs si le taux d’inflation est supérieur au taux nominal.
2/ Les raisons qui expliquent la déferlante des petites voitures sont :
- Production de moins de CO2
- Plus facile pour se garer
- Economie d’énergie
- Economie de carburant
3/ DIPP = Décomposition International du Processus Productif
Les phases de production du processus ne nécessitant pas de main d’œuvres qualifiées , sont délocalisées dans des pays à faible coût du travail. Le progrès technique permet de profiter de procéder de fabrication et de nouveaux matériaux moins couteux.
Productivité horaire du travail = Production / Nombre total d’heures
Si on produit autant avec un plus faible nombre d’heure de travail, la productivité horaire du travail va augmenter. On produira le même nombre d’unité en réduisant le coût du travail, il y aura donc une baisse du coût unitaire du travail.
Coûts fixe moyens = Coûts fixes / Nombre d’unité produites
On parle d’économie d’échelle lorsque le fait de produire à grande échelle permet de faire des économies. Cela est dut au faite que le coût du capitale liée au investissement initiaux et « amortis » sur un plus grand nombre d’activité produite (coût fixe moyen diminue de plus en plus)
4/ Le rôles des agents économiques sont :
- Consommateurs = Demandeur
- Constructeurs = Offreur
- Etat = Fixer le bonus-malus ; norme limitation de vitesse ; contrôle technique ; excès de vitesse
(Document 3 et 4)
1/Les facteurs qui entrent en ligne de compte sont :
- Le moral des ménages
- Le pouvoir des ménages
- Me nombre de personnes prêt à partir en vacances
- Les propositions sur Internet
- L’intervention de nouveaux acteurs
- Les conditions météo
- La situation politique du pays
2-3/ EN temps de crise, les français vont faire de plus en plus attention à leurs budget mais continuerons à partir :
- Hors-saison
- Réserver plus tôt ou plus tard
- Tente au lieu de bungalow
- Moins d’activité
- Moins de restaurant
5/ L’atomicité n’est pas vérifié car si il y a une multitude d’acheteurs mais pas de vendeurs. Il n’y a pas libre entrée sur le marché car il existe des économies d’échelle qui obligerai un nouveau constructeur à procéder à des investissements initiaux trop élevé. Ce n’est pas un
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