Le développement durable et l'automobile
Étude de cas : Le développement durable et l'automobile. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar valsennuie • 10 Septembre 2015 • Étude de cas • 344 Mots (2 Pages) • 4 459 Vues
Le développement durable et l’automobile p92
1) Tout d’abord, une externalité, c’est la conséquence sur les tiers, sans que ceux-ci n’aient participé à l’action, des décisions prises par un agent économique. Elles peuvent être positives ou négatives. Ici, ce sont des externalités négatives qui sont réduites en utilisant des véhicules électriques. Ces externalités sont : la pollution de l’air, la pollution sonore et enfin, le changement climatique.
2) Mis à part les voitures thermiques, il y a les voitures 100% électrique ou les véhicules hybrides. Ce sont les deux alternatives possibles au voiture essence ou diesel qui pollue beaucoup trop.
3) L’état mène une forte politique basé sur un plan de soutien à la filière automobile avec des aides pour les particuliers, les collectivités locales ainsi que pour les sociétés. Ces aides, depuis 2012, peuvent atteindre la somme de 7 000€ suivant le lieu d’habitation (urbain, campagne ou intermédiaire) et le véhicule (tout électrique ou hybride). L’état impose également des malus pour les voitures trop polluantes.
4) On le voit en ce moment, avec le recul du prix du baril de pétrole car cette énergie est moins demandé qu’avant. Cependant, le prix de l’électricité est lui en train de grimper. De plus, ces véhicules électriques dits « propres » circulent grâce à une énergie qui provient en majeur partie des centrales nucléaires qui polluent énormément avec leurs déchets radioactifs.
5) L’Etat propose des aides jusqu’à 7 000€ pour l’achat d’un véhicule électrique et jusqu’à 4 000€ pour l’achat d’un véhicule hybride. Ces propositions sont justifiées car l’achat de ces véhicules « non-polluants » permet de réduire les externalités négatives des véhicules thermiques. En effet, cela permet à l’Etat de dépenser moins d’agent dans le système de la santé à cause de la pollution, également de dépenser moins dans la construction de bâtiments neuf car les anciens étaient dégradés à cause de la pollution. Aussi, les couts de l’Etat dans sur les biens locatifs. Mais surtout, cela réduit les couts de l’Etat dans des politiques qui visent à limiter le changement climatique et les couts et dommages liés à l’augmentation de la température.
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