La Mesure De L'orientation Entrepreneuriale

Cet article explore la façon dont le concept de l'orientation entrepreneuriale (OE) a été décrite et évaluée dans les recherches antérieures. Les défis et les critères de décision associés aux méthodes de mesure de formation en fonction de réflexion sont passés en revue. On fait valoir que, en tant que construit latent, EO existe en dehors de ses mesures et que les chercheurs sont libres de choisir les mesure à l'approche le mieux à leurs fins de recherche, tout en reconnaissant que unidimensionnelle par rapport aux modèles multidimensionnels de mesure EO sont conformes aux fondamentalement différentes conceptualisations de l'EO construire . Recommandations sont proposées en ce qui concerne formative potentiellement appropriée et des mesures de réflexion de l'OT.

Introduction

Le phénomène de l'orientation entrepreneuriale (OE) en tant que force motrice de la poursuite de l'organisation des activités entrepreneuriales est devenu un élément central de la littérature et de l'esprit d'entreprise fait l'objet de plus de 30 ans de recherche. EO a généralement été conçue comme une prise de décision organisationnelle favorisant la propension des activités entrepreneuriales (Lumpkin et Dess, 1996). L'importance du concept dans la recherche en gestion découle de l'hypothèse selon laquelle EO représente une variable continue (ou un ensemble de variables) sur laquelle toutes les organisations peut être positionné ou représentés. Cette hypothèse contribue à l'idée que toutes les organisations se situent le long d'un continuum allant de la conception conservatrice (le "bas" de fin) de l'esprit d'entreprise (le «high» fin) (Barringer et Bluedorn, 1999; Covin et Slevin, 1998) ou dans un multidimensionnelle espace conceptuel qui capture le domaine de «l'être entrepreneuriale» (Antoncic & Hisrich, 2003; Lumpkin & Dess). En tant que tel, les enquêtes de l'OT ont ciblé les orientations des organisations face à l'activité entrepreneuriale, indépendamment du fait qu'ils soient jeunes ou vieux, petite ou grande, publique ou privée, etc Compte tenu de large applicabilité EO, il est peut-être pas surprenant que le concept a été largement adoptée dans les études antérieures.

Néanmoins, les chercheurs EO reconnaissent souvent des variations dans la manière dont le construit latent est ou devrait être conceptualisée (Covin, Green, & Slevin, 2006; Lumpkin & Dess, 1996), les facteurs qui entraînent directement liées à la mesure des conséquences. Malheureusement, comme nous le verrons par George (2006), les chercheurs d'OT ont souvent explicitement ou implicitement mal interprété le type de modèle de mesure utilisé dans leurs études, se référant, par exemple, à une échelle EO comme une mesure formative quand elle n'est pas. Inappropriée déduire la signification nominal de l'EO construire à partir des résultats de l'analyse des données (c.-à-preuve relative à la signification empirique de la construction) est également un phénomène courant. En outre, alors que les preuves suggèrent qu'il existe une mesure EO les plus couramment utilisés - à savoir, l'échelle Miller / Covin et Slevin (1989) (voir Rauch, Wiklund, Lumpkin, & Frese, 2009) - et l'échelle elle-même a été le l'objet d'un examen attentif dans plusieurs études empiriques (par exemple, Knight, 1997; Kreiser, Marin, & Weaver, 2002), peu de progrès ont été accomplis dans le développement de nouvelles approches d'évaluation EO depuis Lyon, Lumpkin et Dess (2000) a publié ce défi pour les chercheurs il ya une décennie. En général, les problèmes de mesure ne sont pas encore largement retenu l'intérêt des chercheurs en OT, peut-être parce que les études qui emploient le Miller / Covin et Slevin (1989) et ses variantes échelle ont à plusieurs reprises donné des résultats qui sont sans doute théoriquement intéressante. Une conséquence de valeur reconnue de la balance peut être minime besoin ressenti par les chercheurs à étudier des mesures alternatives OT. (Pour une exception notable, reportez-vous à court, Broberg, Cogliser, et Brigham [2009] qui a utilisé l'analyse de texte assistée par ordinateur pour compter le nombre de mots liés à la fois les dimensions EO - à savoir, la prise de risques, l'innovation, la proactivité, l'autonomie, et l'agressivité compétitive - ont été mentionnées dans les lettres aux actionnaires chef de la direction figurant dans les rapports annuels du S & P 500 entreprises).

Le présent article examine le concept de EO ainsi que les fondements de la théorie de la mesure dans le but de promouvoir une compréhension générale des principales questions soulevées par la mesure EO. Une attention particulière est accordée à des questions telles que si EO est le plus correctement évalué si les modèles de mesure formatifs ou réfléchissants et les limites des modèles de mesure différentes conceptualisations quand particulières d'EO sont utilisés par les chercheurs. Sur la base des leçons tirées de la littérature théorie de la mesure (par exemple, Coltman, Devinney, Midgley, & Venaik, 2008; Diamantopoulos & Winklhofer, 2001; Howell, Breivik, & Wilcox, 2007; Jarvis, MacKenzie, et Podsakoff, 2003), il sera faire valoir que, bien que l'OE est généralement perçues comme ayant un certain nombre de «composants» variables (par exemple, Lumpkin & Dess, 1996; Miller, 1983), qui ne font pas une construction formative EO. Construit se sont intrinsèquement ni formative, ni la réflexion. Il sera également fait valoir que les modèles de mesure de réflexion sont souvent plus approprié pour évaluer l'OT, avec mesure formative se rapproche plutôt réservée pour les cas où la vérification de l'importance des indicateurs EO l 'causales à des résultats particuliers est une préoccupation principale. La dernière section de ce document propose quatre approches et critique alternatives à la mesure EO, et certains des principaux plats à emporter relatives à la conceptualisation et la mesure EO sont passés en revue.

Le concept de l'OT

La notion d'une orientation vers l'activité entrepreneuriale a été donnée une variété d'étiquettes dans des recherches antérieures, y compris l'orientation entrepreneuriale, l'intensité, le style, la posture, la propension, la propension et, dans certains cas, l'esprit d'entreprise des sociétés (par exemple, Zahra, Jennings, et Kuratko, 1999). Compte tenu des diverses étiquettes attachées au phénomène, il est peut-être pas surprenant que les chercheurs

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