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Par   •  13 Novembre 2016  •  Étude de cas  •  962 Mots (4 Pages)  •  653 Vues

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Vilallongue                                                                                                           01/11/2016   

Lucille

TES1

Étude de deux documents

en SES

Document 1

        Ce document est un tableau statistique qui s'intitule : ''Taux de croissance annuel moyen, 1985 – 2010 (en %)''. Il est tiré de l'OCDE de 2012 et étudie le taux de croissance annuel moyen sur la période 1985 – 2010 en pourcentage de par le PIB, le facteur capital, le facteur travail et le PGF dans les pays de la France, l'Irlande, les États-Unis, l'Italie, la Belgique et la Corée du Sud.

        Nous pouvons voir grâce à ce document que chacun des pays a connu de la croissance économique sur la période 1985 – 2010 mais chacun différemment. Premièrement, nous pouvons distinguer 3 groupes de pays qui répondent à différents critères d'évolutions :

La Corée du Sud et l’Irlande sont de 1985 à 2010 les 2 pays au rythme de croissance le plus élevé : par exemple le PIB de la Corée du Sud a augmenté en moyenne chaque année, de 6,1% de 1985 à 2010 ce qui est considérable puisse que cela signifie que sa production de biens et de services a explosé, tout comme l'Irlande qui en moyenne chaque année voit augmenter son PIB de 4,4% en moyenne chaque année de 1985 à 2010.

Les État-Unis et la Belgique connaissent quand à eux une croissance économique moyenne autour 2,5% par an en moyenne sur la période 1985 – 2010.

Enfin la France et l’Italie connaissent des taux de croissance du PIB faibles de 1,8% et 1,4% en moyenne par an de 1985 à 2010.

Deuxièmement, lorsque l’on observe le tableau, nous voyons de suite ce qui contribue le plus à la croissance économique de ces pays et nous remarquons que pour tous les pays sauf l’Italie, c’est la productivité globale des facteurs qui y contribuent le plus. En effet pour la Corée du Sud, l’Irlande, la France, les États-Unis et la Belgique, c’est la moitié ou plus de la croissance qui s’explique par l'efficacité des facteurs capital et travail et donc par la PGF. Par exemple, pour la Corée du Sud, la PGF contribue à 3,8 points des 6,1% ; pour l’Irlande la PGF contribue à 2,7 points des 4,4% ; pour la France la PGF contribue à 1,0 points des 1,8% ; pour la Belgique la PGF contribue à 1,3 points des 2,3%  et pour pour les États-Unis la PGF contribue à 1,1 points des 2,6% de la croissance annuelle moyenne du PIB de 1985 à 2010. Tandis que pour l'Italie, la PGF contribue seulement à 0,4 points des 1,4% de la croissance annuelle moyenne du PIB de 1985 à 2010 ce qui est très peu, ici la PGF ne contribue donc que très peu à la croissance économique de ce pays.

Nous pouvons donc dire que les 6 pays sauf l'Italie ont la plus forte croissance de leur PIB car ils ont connu une forte croissance de leur productivité. L’innovation ou encore l'investissement pourrait être donc un facteur de croissance essentiel ce qui permettrait une croissance plus rapide.

Document 2

        Ce document est un tableau statistique qui s'intitule : ''Taux de croissance du PIB en volume en Allemagne, en France et dans l'Union Européenne entre 2003 et 2012 (en %)''. Il est tiré de l'Eurostat de 2013 et étudie le taux de croissance du PIB chaque année de 2003 à 2012 en pourcentage dans les pays de l'Allemagne, de la France et de l'Union Européenne.

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