Différentes organisations du travail

L’organisation du travail est un élément essentiel du fonctionnement des économies et des sociétés. Cette organisation a connu d’importantes transformations depuis la fin du XVIIIe siècle. Une transformation inspire à une nouveauté, une innovation, et naturellement à meilleur. Mais ces évolutions peuvent elle être sans danger ?

J’ai étudié plusieurs documents de nature différente, qui m’ont permis de mettre en avant les différentes organisations du travail, c’est justement ce que je vais présenter dans une première partie. Mon étude a permis de mettre également en avant les limites apportées par ces évolutions, c’est sur quoi Je m’appuierai dans une deuxième partie. Enfin nous conclurons.

I/ Les différentes organisations du travail

Le Taylorisme consiste à diviser le processus de production en tache les plus simples possible : c’est la division horizontale du travail. Les ouvriers exécuteurs sont séparés de ceux qui prennent les décisions, les dirigeants : c’est la division verticale du travail.

Les ouvriers sont observées, les ingénieurs ont choisir le meilleur geste à reproduire afin d’optimiser la chaîne de production. Nous pouvons voir dans le document 2 que les employés de mac do utilisent le taylorisme. Nous pouvons voir dans le document 1 que les ouvriers ont chacun une tache spécifique à exécuter et le suivant complète etc. Les salariés sont encouragés à produire plus car on les paye à la pièce. Le fordisme consiste à la standardisation permettant de produire en grandes séries à l'aide de pièces interchangeables, afin de stimuler la demande de biens et donc d'augmenter la consommation. Mais cette augmentation des salaires avait pour but principal de lutter contre le « turn over ». Il consiste aussi à un travail à la chaine mettant en avant les deux divisions du travail (verticale et horizontale).

Le Toyotisme consiste à reprendre le meilleur du taylorisme et du fordisme mais il révolutionne l’organisation de la production en ne déclenchant la production qu’à partir d’une commande

II/ Les avantages et limites.

Les avantages du taylorisme sont : une hausse de la productivité, une hausse des bénéfices, une hausse des salaires et cela a permis de faire travailler efficacement des gens sans formation qui venaient de différents pays.

Les avantages du Fordisme permet d’approfondir la division du travail et de réduire les coûts de production de chaque pièce par des économies d’échelle, donc de réduire les coûts de production.

De l’autre côté la hausse des salaires va permettre aux ouvriers d’augmenter leur pouvoir d’achat. Ainsi comme nous pouvons le voir dans le document 4 sur ces deux graphiques, nous pouvons voir une augmentation proportionnelle du pouvoir d’achat et aussi des équipements des ménages Entre 1995 et 2005 .

Mais le Taylorisme et le Fordisme ont surtout des inconvénients qui sont :

Par rapport au Taylorisme :

Une baisse de l’emploi dans les entreprises concernées, une hausse de la dureté du travail. Ce qui va entrainer une frustration des ouvriers, ils ne voient plus le sens de leur travail. Le chômage se développe, le progrès technique

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