Crise Culture Et Communication
Compte Rendu : Crise Culture Et Communication. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar rere3091 • 9 Décembre 2014 • 578 Mots (3 Pages) • 1 031 Vues
L’idée de la crise, c’est que cela fonctionne avec un certain nombre de négociation à la faveur, d’un évènement ou d’une problématique. Notion de rupture.
« Les crises sont des mouvements de bouleversements avec un système juridique jusque-là cohérent »
Aspect théorique de la crise
A travers une crise, on peut trouver différentes phases que celle-ci peut prendre :
- Etat d’équilibre
- La seconde phase que Jacqueline Barus-Michel donne est une phase de malaise, d’inquiétude.
- Et la troisième phase, est une phase paroxystique, système de panique.
Selon Edgar Morin, plus la crise dure et est grave, et plus les manifestations sont importantes.
Conséquence de la crise
Le risque, c’est de construire ce qu’il appelle « un imaginaire négatif avec des représentations menaçantes » : « Les uns apparaissent comme des prédateurs voulant détruire les autres et réciproquement. »
Cela amène au chacun pour soi ! Thomas Arcizweski pense que c’est un système destructif caractérisé essentiellement par la peur et l’incertitude.
Le but de ses recherches est de savoir comment la crise se met en place et quelles sont les stratégies qui se déploient collectivement et individuellement pour arriver à les dépasser. Edgar Morin, quant à lui, prend le problème différemment. Pour lui, il faut concevoir la société comme étant un système qui peut avoir des crises et qui repose sur 3 systèmes :
- Le principe systémique
- Le principe de régulation constante
- Le principe que les sociétés sont en réorganisation permanente.
L’effet positif de la crise est qu’elle a un aspect d’éveil, elle montre là où les carences étaient. On peut dont dire qu’il y a à la fois au sein d’une crise, une destructivité en action et une créativité en action.
Aspect que la crise prend à travers le monde
Tout est partie de la crise financière en 2007 (crise de l’endettement). Car, jusque-là tout reposer sur ce principe : Il y a une façon économique de fonctionner qui lie la production à la consommation sur la capacité des ménages à consommer fournie par les salaires.
Or ce principe est remis en cause à partir des 70’s et encore plus lors des 80’s. Du fait de la mondialisation, la crise touche le monde entier. Cela entraine des millions de personne dans la pauvreté.
La crise prend également une forme sociale avec la baisse des aides sociales pour les états … On retrouve la crise dans le domaine de la politique démocratique qui touche les régimes politiques européens. On le voit avec l’augmentation du taux d’abstention lors des élections.
C’est aussi une crise sur le plan individuelle. Ce qui entraine un sentiment de perte de sens, de malaise, du sens de la vie … Le bien-être matériel ne produit pas le bien-être individuel ou plus globalement le bonheur.
Lazza-Rotto, dans un livre intitulé « Expérimentation Politiques » note que parallèlement à l’appauvrissement
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