Cours sur l'entrepreneuriat

SOMMAIRE

I- Introduction …………………………………………………. 2

a) Pourquoi la décoration ?

b) Les objectifs

II- L’étude de marché...................................................3 - 8

a) Le marché de mobilier

b) Les concurrents :

- Directs

- Indirects

c) Plan d’action

d) Etude du marketing :

- Plan de communication

III- Plan de financement ………………………………9

IV- Business Plan………………………………………10 - 11

V- Statue juridique……………………………………11 - 13

a) La statue

b) L’organigramme

Conclusion………………………………………….14

I- Introduction :

a) Pourquoi la décoration ?

La décoration d’intérieur est devenue un phénomène de société qui touche

aussi bien les particuliers que les professionnels.

Le secteur après avoir passé une crise profonde ; connait aujourd’hui des jours meilleurs. Cela nécessite la mise en place de nouvelles structures pour répondre aux besoins de consommateurs de plus en plus exigeants.

Le secteur de la décoration qui comprend à la fois le mobilier ; les arts de la table ; les tissus d’ameublement et les objets artisanaux.

Cette tendance s’explique notamment par la recherche de bien-être et s’accompagne d’une plus grande attention dans le choix des meubles et objets.

b) Les objectifs :

Les objectifs de l'entreprise sont divers. Ils peuvent être fixés à long ou à moyen terme (c'est-à-dire à plus d'un an) ou à court terme (à réaliser dans l'année). On peut les classer en objectifs de rentabilité, de profit, de part de marché, de diversification, de productivité, d'innovation, de qualité, de prestige, de formation du personnel, etc.

Les objectifs dépendent les uns des autres à un triple point de vue en premier lieu, une harmonisation doit être établie entre les différends objectifs de l'entreprise. Ainsi les objectifs de production doivent correspondre aux objectifs de vente. L'objectif de rentabilité doit être calculé de telle sorte qu'il permette au moins de répondre aux besoins de financement, etc., tous les objectifs sont ainsi en interrelation.

Objectif principal :

Une chaine nationale de distribution de mobilier d’intérieur.

Objectifs spécifiques :

• Extraire des bénéfices financiers en récoltant plus d’argent que d’argent investi ; notamment pour attirer les investisseurs institutionnels et les petits actionnaires.

• Produire un excédent de trésorerie qui sera investi avec un plus grand profit dans le développement des activités ou une autre entreprise.

• Maximiser ; selon le statut l’utilité sociale (améliorer la situation de la société) ou le profit (différence entre le prix de vente et le cout des ressources consommés).

II- L étude de marché :

a) Le marché de mobilier :

L’institut espagnol de commerce extérieur a réalisé une étude sur le secteur du mobilier au Maroc en 2010. A la clef, l’état des lieux et les perspectives de croissance du domaine.

En quête d’opportunités d’affaires ? Le mobilier promet de belles perspectives. C’est en substance ce qui ressort d’une étude sectorielle réalisée fin 2010, par l’I institut espagnol de commerce extérieur (ICEX), sur le secteur du mobilier au Maroc en 2010.

La demande locale qui oscille entre bas, moyen et haut de gamme a connu, durant les cinq dernières années, un essor fulgurant. Mais c’est le haut de gamme qui attire principalement l’attention des analystes de marché. À l’origine de cette tendance, l’envol qu’avaient pris les deux secteurs de l’immobilier et du tourisme.

Les changements rapides des habitudes de consommation et le démantèlement tarifaire entre le Maroc et l’UE prévu pour l’année prochaine, ne sont pas en reste. Soulignant l’absence flagrante de données chiffrées officielles, le rapport estime néanmoins que le consommateur marocain consacre plus de 2,5 % de son budget annuel au mobilier. Ce secteur avait d’ailleurs atteint son pic en 2009, avec un taux de croissance de 6,2 % contre 5,6 % en 2008 et 3,7 % en 1999, ce qui laisse la porte ouverte à l’import et surtout à l’implantation de franchises internationales.

Ainsi, les principaux fournisseurs du pays sont la Chine, la France, l’Italie, l’Espagne et la Malaisie. Et c’est le mobilier de réception qui se taille la part du lion, suivi des sièges, du mobilier de bureau et des meubles de cuisine et de salle de bain. L’analyse de l’évolution des achats en provenance de l’étranger entre 2005 et 2009 laisse dégager un bond spectaculaire. Dans le détail, les importations de sièges et de fauteuils se transformant en lit ont plus que doublé, passant de 30 millions à 65 millions de dollars sur la période de référence. S’agissant des autres catégories de meubles (en métal, bois et plastique), leurs importations se sont multipliées par trois, pour se situer à 180 millions contre 60 millions de dollars en 2005.

Quand aux exportations du pays, leur évolution est restée pratiquement nulle sur la même période de comparaison, variant entre 10 et 40 millions de dollars. Cette hausse tendancielle de la part de l’import dans le marché (30%), est à attribuer à une industrie locale à prédominance artisanale, peu développée et surtout moins adaptée aux goûts et désirs du chaland. Les artisans fabriquent 60% des meubles (mobilier de maison, de cuisine, de bureau et sièges) vendus au Maroc. Le reste, c’est-à-dire 10%, est revendiqué par les menuisiers spécialisés dans les produits

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