Consommation, investissement et épargne
Cours : Consommation, investissement et épargne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 16 Mai 2013 • Cours • 405 Mots (2 Pages) • 1 047 Vues
Consommation, investissement et épargne [modifier]
La reprise de l'investissement est également très nette dans le bilan de l’année 2003. Cette reprise a connu une hausse de 8 % par rapport à 2002. Le lancement de grands travaux dans le secteur du bâtiment et travaux publics explique largement cette embellie des investissements.
Autre signe de consolidation macroéconomique, le niveau de l’épargne nationale qui se situe aux environs de 26 % du PIB, grâce essentiellement à la progression des transferts des marocains résidents à l’étranger (4,7 %), au maintien à un niveau élevé des placements des avoirs extérieurs à l'étranger et à la baisse des charges et intérêts de la dette extérieure publique.
Inflation [modifier]
L'inflation est de 6,1 % en 1995, la hausse des prix a été ramenée sous la barre des 3 %. En 2000, elle a été contenue à 2,5 %, à 1,4 % en 2001, à 2,1 % en 2002, à 1,2 en 2003 et 1,5 en 2006 et est en 2011 de 1 %[réf. nécessaire].
Chômage [modifier]
- Le taux de chômage atteint les 9,9 %
Le Maroc aussi a vu le nombre de ses chômeurs augmenter. Avec près de 1 130 000 de personnes sans emploi, le taux de chômage national a atteint, au premier trimestre de 2012, les 9,9 %, soit une hausse de 0,8 par rapport à 2011. Ils sont ainsi 93 000 chômeurs en plus, selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP), qui avait publié le jeudi 3 mai 2012 , une étude relative à la situation du marché du travail au Maroc. Le taux de chômage est plus élevé dans les zones urbaines, précise le HCP. Il est, en effet, de 14,4 % dans le milieu urbain, contre 4,8 % dans les zones rurales. Les jeunes sont les plus affectés par le chômage, avec des taux de 19,2 % enregistré chez les 15 à 24 ans, et de 14,5 % chez les 25 à 34 ans, ajoute le HCP15.
Finance publique [modifier]
Les équilibres financiers ont été progressivement restaurés ces dernières décennies. De 12 % du produit intérieur brut (PIB) en 1982, le déficit budgétaire a été ramené à 2,7 % en 2001 et à 3,5 % en 2003[réf. nécessaire].
Endettement [modifier]
La dette extérieure publique marocaine s'est établie à environ 13,6 milliards de dollars au terme de l'année 2006, enregistrant ainsi une légère baisse de 0,6 %, alors que le taux d'endettement extérieur s'est amélioré de 2,3 points du PIB, pour passer à moins de 20 %[réf. nécessaire].
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