Auchan

Auchan-Nice la Trinité

Groupe Auchan :

 269 000 salariés / collaborateur

 Une implantation dans 12 pays

 1464 hypers et supermarchés intégrés

 CA HT en 2011 : 44,4 milliards d’euros

Mix commercial des magasins Auchan :

Politique produits-prix : assortiments larges et peu profonds. Opte pour une prédominance de ses propres marques dans les rayons afin de renforcer son image-prix, sur les marchés alimentaires : 20-25 % en marques nationales, 35-40% en marques de distributeur « cœur de gamme », 25-30 % en marques premiers prix (avec évolution marquée vers les 1ers prix cette année)

La stratégie prix est tournée vers la compétitivité de son assortiment afin de maintenir sa position concurrentielle et attirer de nouveaux clients.

Politique de communication : carte de fidélité, jouant le rôle de ticket rémunérateur à chaque passage en caisse. Moyens de com : catalogues prospectus, pub radio

1) Opportunités du marché santé-beauté

Les français sont les 4èmes plus gros consommateurs de cosmétiques et de soins dans le monde. Il s’agit d’une donnée très importante car cela signifie que le marché Santé-Beauté est réellement porteur en France et que par conséquent il y a une opportunité de développement dans ce secteur. En effet, cette information est un moyen de s’assurer que les efforts qui seront fournis dans l’aménagement de l’espace Santé-beauté ne seront pas inutiles.

Il y a de grandes chances que le secteur Santé-Beauté d’Auchan-La Trinité fonctionne correctement si le marché national se porte bien. Ensuite, la population qui constitue la zone de chalandise d’Auchan-La Trinité a un âge relativement regroupé dans la mesure où c’est une population assez âgée. Le fait que la population soit regroupée permet de cibler davantage et d’une manière plus efficace lors des opérations marketing.

De plus, la zone de chalandise est relativement bien peuplée dans la mesure où elle est nombreuse.

En effet, elle est constituée d’environ 300 000 habitants ce qui n’est pas négligeable puisque cela représente également 208 000 ménages. En revanche, la zone de chalandise est également constituée d’une part non négligeable d’enfants âgés de 0 à 14 ans puisqu’ils représentent 18,4 % de la population. Par conséquent, il s’agit également d’une opportunité pour Auchan-La Trinité qui pourra développer des produits jeunesse…

Le chiffre d’affaires généré par ce secteur en 2004 est de 1 356 000 euros

Sur ce marché national, les industriels représentent 11 sociétés qui se répartissent 78% du marché. Et seulement 3 fournisseurs se partagent 48% du marché.

http://www.keysmonitor.com : Des marchés encore porteurs. Prenons l’exemple de la percée récente des cosmétiques Bio et de leur potentiel encore vertigineux. Avec des croissances de près de 40% en 2006 et 2007 sur le marché français, et de 20% en 2008 (250 M€), le marché des cosmétiques Bio labélisés est attendu aux alentours de 280 millions d’euros pour 2009(2), où il aura représenté environ 4% d’un marché global, au mieux stable. Ce marché de la cosmétique Bio est actuellement formé d’une centaine de marques repérables dans la distribution, créées presque exclusivement par des TPE et PME. Parmi les 20 marques les plus visibles en magasins spécialisés et pharmacie, hors des leaders Weleda, Melvita, Bio Beauté et Sanoflore, le chiffre d’affaires moyen annuel des acteurs ressortait à 4 millions d’euros en 2008(3). Selon nos estimations, la grande majorité des jeunes marques de produits cosmétiques Bio réalise aujourd’hui entre 150 000 et 1,5 million d’euros de chiffre d’affaires. Combien d’entre elles réussiront à s’installer et à croître durablement sur le marché ? Avec un concept pertinent et bien valorisé, des coûts de revient acceptables, une politique de prix en ligne avec la valeur perçue des produits et une stratégie de distribution efficace, tout projet bien dirigé rencontrera le succès ; le seul facteur limitant du dirigeant étant précisément son besoin en fonds propres.

http://www.annoncebeaute.com : Le marché de la beauté

Selon une étude réalisée par la société NDP, en 2006, le marché de la beauté affiche une reprise. Les parfumeries sélectives, qui représentent 50 % de la distribution, ont enregistré une hausse de 3 % de leur chiffre d’affaires. La valorisation des produits serait à l’origine de cette progression. En effet, les volumes vendus ont stagné mais le prix moyen a progressé de 2,7 %

En 2006, le marché mondial des parfums et cosmétiques a connu une croissance de 4,8 %, soit sa plus forte croissance depuis 2000. Cette bonne performance masque d’importantes disparités, notamment d’un point de vue géographique. Alors que les nouvelles zones de consommation (Asie hors Japon, Europe de l’Est, Amérique Latine) tirent la croissance du marché, celle-ci est relativement faible sur les marchés matures (Europe de l’Ouest, Amérique du Nord et Japon).

La beauté ethnique révèle un essor important ces dernières années et s’apprête à devenir la dernière niche inexplorée d’un marché à l’offre pléthorique. Le marché de la beauté ayant atteint sa maturité, les grands groupes se positionnent désormais sur le créneau de la beauté ethnique. Selon les directeurs, les estimations varient entre 3 et 7 millions de clients potentiels si l’on ajoute les 4,5 millions d’Arabo-Berbères. Le marché des cosmétiques ethniques pèse ainsi 50 millions d’euros en France. Seule certitude selon les responsables, il s’agit d’une population sur-consommatrice, où le panier moyen d’une cliente est entre 3 à 5 fois supérieur à celui d’une Caucasienne.

Un autre phénomène s’est développé ces dernières années avec le développement des beauty bars à Paris. L’idée est de proposer aux clientes et aux clients des prestations sans rendez-vous à des prix très compétitifs. Celui de l’important magasin Sephora des Champs-élysées montre le plus fort engouement. Des établissements comme le Make-Up Bar du Printemps Haussmann ou l’Institut du Pied représentent également des sites pilotes de beauty bars en France. Garnier propose un beauty bar sur Internet avec des conseils bien-être et beauté ainsi que des

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