Principes de la comptabilisation et de la gestion
Documents Gratuits : Principes de la comptabilisation et de la gestion. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lumen751 • 12 Mars 2013 • 1 681 Mots (7 Pages) • 838 Vues
Principes de la comptabilisation et de la gestion :
Toute entreprise doit faire une comptabilité. La comptabilité est une obligation légale. En effet, comptabiliser c’est le fait que toutes les entrées et sorties de l’entreprise doivent être notées. On peut citer en exemple le plein d’essence de la voiture de fonction, aller au restaurant avec un client. Ainsi, il faut tout noter.
Pourquoi ?
Afin de voir le flux monétaire, et voir les pertes et gains de l’entreprise. Quand on note toutes ces entrées et sorties, on doit respecter certains principes. On va citer les grands principes comptables sans ordre :
. Le principe de continuité de l’exploitation : l’entreprise d’un point de vue comptable, on arrête de comptabiliser ses entrées et sorties le 31 décembre.
. Le principe d’indépendance des exercices : Nous, on étudie entre le 1er janvier et le 31 décembre : un exercice. Les exercices sont indépendants. Si les exercices n’étaient pas indépendants, on ne pourrait pas payer d’impôts tous les ans.
. Le principe de prudence : Lorsque l’on note toutes les entrées et toutes les sorties, on est prudent.
. Le principe de sincérité : Lorsque l’on note les entrées et sorties on est sincère, ce sont des entrées et sorties réelles, il s’agit d’un principe très important.
. Le principe de régularité : La manière dont on note les entrées et sorties est en adéquation, en conformité avec les règles et procédures juridiques.
. Le principe de non-compensation : On vend des marchandises à A et on achète marchandises à A. A est à la fois fournisseur et client. Achat à 50 et vente à 30, on ne peut pas dire que j’ai au final 20. Aucune compensation possible en gestion.
. Le principe de permanence : Quand l’on utilise une méthodologie, méthode de calcul, on ne peut pas en changer en fonction des années et de ce que je veux. Si on s’engage, on ne change pas avant 3-4 ans. D’où la nécessité de prendre des méthodes très flexibles.
. Le principe de prééminence de la réalité économique sur le juridique : Ce qui prime c’est la réalité économique, l’entreprise doit s’adapter en fonction des évolutions conjoncturelles. En fait, ce qui arrange l’entreprise tout en respectant la légalité et les règles juridiques.
Afin de faire une bonne analyse, il faut connaître les 5 forces Porter, c’est de dire qu’une entreprise a des externalités, elle n’est pas toute seule, elle est dans un environnement.
- Les 5 forces Porter : l’entreprise doit faire face à
. De nouveaux entrants (pas encore concurrents, ex : Free)
. De nouveaux concurrents (on les connaît, sont déjà sur le marché)
. Des clients-fournisseurs sur le marché
. Un environnement économique et juridique
. Une barrière à l’entrée pour aller dans de nouveaux marchés
L’entreprise répond aux besoins des clients. Il faut avoir une réalité économique
I. Les principes comptables
A) Les principes généraux
L’entreprise est soumise à de nombreuses contraintes. Une entreprise a une multitude d’entrées et de sorties par jour. Elles doivent toutes être notées au jour le jour. Il faut donc une méthodologie très rapide. Actuellement, on utilise une méthode très rapide et l’outil informatique a beaucoup facilité les choses.
La vie de l’entreprise se résume à 7 classes, c’est-à-dire que sa vie se résume à 7 entrées et 7 sorties. Ces 7 entrées et 7 sorties ont des racines communes. On numérote les entrées et sorties selon une racine commune, qui revient tout le temps come payer des charges. L’entreprise n’a que 7 problèmes donc 7 solutions.
Cette classification dépend du plan comptable général, qui est applicable à toutes les entreprises sur le territoire, la méthode est quasi-mondiale. La méthode a été finalisée en 1975 et depuis ça n’a pas changé car la méthodologie est très efficace. Quand on a commencé à faire ce plan comptable général on avait la vision de l’entreprise pendant les Trente Glorieuses. Ainsi, l’entreprise n’avait qu’un problème, celui de répondre à la demande du client. Donc la numérotation aujourd’hui correspond à une vision d’une entreprise en pleine croissance. On va ainsi citer les 7 tiroirs.
. Les 7 classes :
1. Le capital : Il faut un apport initial d’argent, trouver un local.
2. Les immobilisations : c’est-à-dire les investissements.
3. Le stock : avoir un stock de marchandises. La règle du stock c’est qu’il en faut mais pas trop. Lorsque le plan comptable s’est formé, le stock est le 3e élément le plus important.
4. Le tiers : Tiroir de la relation commerciale, tiroir du client et du fournisseur. Il est très stratégique, il est important s on souhaite obtenir un gain important.
5. Les financiers : Il faut avoir de l’argent d’avance car on n’est pas payé tout de suite. (exemple de l’avocat qui pourra parfois être payé sur le succès du procès).
6. Les charges : électricité, connexion Internet, consommables, publicité etc…
7. Les produits : en dernier cas car pendant les Trente Glorieuses, vendre n’était pas un problème. Aujourd’hui, la vente est un réel problème car le pouvoir d’achat s’est beaucoup amoindri. Il faut avoir un peu d’argent devant soi car une entreprise qui démarre ne pourra pas avoir des clients immédiatement
(Ordre vu aujourd’hui tenant compte de la réalité économique : 1, 2, 6, 3, 7, 5, 4)
Le principe
...