Monnaie et chômage
Mémoire : Monnaie et chômage. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tito1011 • 2 Juin 2012 • 384 Mots (2 Pages) • 1 556 Vues
Monnaie et chômage.
Problématique :
L’équilibre sur le marché monétaire a-t-il une influence sur le marché du travail ?
Plan :
1 Le marché monétaire n’influence pas le marché du travail.
1 Chaque marché trouve son équilibre indépendamment des autres sous certaines conditions.
1 Les conditions de l’équilibre des marchés.
Rappels théoriques : L’optimum de Pareto – Modèle de concurrence parfaite
+ Exemple sur l’équilibre du marché du travail par le salaire (Ricardo et Malthus)
2 Le fonctionnement du marché du travail selon les néoclassiques.
Le travail est une marchandise homogène, il n’y a de spécificité du marché du travail. Offre et demande fonctions croissantes et décroissantes du salaire réel.
(Chômage volontaire. Théorie du chômage de Pigou.
2 La monnaie est neutre.
1 Illusion monétaire.
Friedman : les agents ne considèrent que les prix payés, inflation incluse ; alors qu’ils devraient considérer que les prix réels ou prix constants : l’agent croit que son pouvoir d’achat a augmenté alors qu’il n’en est rien ! Cependant, l’illusion ne peut durer indéfiniment, il y a retour à la situation initiale voire à une situation moins bonne.
2 Anticipations adaptatives.
Lucas – Sargent : La théorie précédente est contredite par les nouveaux classiques qui signalent la rationalité des agents et leur capacité à anticiper les fluctuations purement monétaires.
2 Le marché monétaire influence le marché du travail.
1 L’inflation permet de limiter le chômage.
1 Courbe de Phillips
Inflation créatrice
Relation inversement proportionnelle entre le taux de croissance des salaires nominaux et le taux de chômage.
2 La policy mix.
Permet de piloter l’activité vers le plein emploi en jouant sur le taux d’intérêt (politique monétaire) et sur la dépense publique (politique budgétaire)
2 Keynes nie la neutralité de la monnaie.
1 La monnaie est active.
L’augmentation de l’offre de monnaie fait baisser les taux d’intérêts ce qui est favorable à l’investissement et donc à l’augmentation du niveau de la production, ce qui est générateur d’emploi.
cf. l’effet de levier
2 L’effet des politiques monétaires sur le chômage.
Samuelson confirme la symétrie entre inflation et chômage de Philips ce qui conduit
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