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La science économique selon Pascal Bédard

Commentaire d'oeuvre : La science économique selon Pascal Bédard. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Février 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  553 Mots (3 Pages)  •  641 Vues

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Dans la tête d’un économiste Pascal Bédard

La science économique étudie le problème fondamental de la production pour satisfaire à des besoins et le fait que la production et l’échange de biens et services contre d’autres biens et services est la base de toute économie, avec ou sans monnaie comme moyen d’échange.

Le but de ce texte est d’expliquer l’ensemble du cadre de pensée de la science économique en « mots de tous les jours » afin de faire comprendre au lecteur que la contrainte de rareté existe dans tous les systèmes (capitalisme, socialisme, capitalisme d’État, capitalisme libre, communisme, etc.) et que le rationnement est requis afin d’utiliser et d’allouer les ressources rares (temps, efforts, talents, ressources naturelles, compétences et connaissances, etc.) et de distribuer les biens et services dans la population par le mécanisme du prix et du revenu.

C’est la base microéconomique requise pour comprendre le fonctionnement du système dans lequel nous sommes. En outre, nous faisons ressortir ici le fait qu’une économie de marché n’alloue pas le « pouvoir d’achat » en fonction de critères de mérite, d’égalité, de « valeur », ou même d’effort, mais bien en fonction de deux forces simples qui interagissent sans cesse dans un mouvement d’ajustement perpétuel: la demande et la capacité à combler cette demande par la production (l’offre).

Cette caractéristique de l’économie de marché décentralisée est à la fois sa force et sa faiblesse : l’absence totale de jugement de valeur, puisque les « offreurs » qui offrent ce qui est peu offert et fortement demandé (que ce soit une firme qui produit ou un travailleur qui offre ses compétences dans le marché du travail) obtiendront une plus grande « part du gâteau » (pouvoir d’achat) que les autres, créant ainsi l’incitatif d’effort et d’investissement dans une direction propice à combler les besoins et désirs des consommateurs par le jeu du libre choix, tout en donnant à chacun un pouvoir d’achat qui découle de la rareté relative de ce qu’il/elle offre. En termes comparatifs et historiques, ce « jeu », bien qu’imparfait et parfois « cruel », semble créer un bien-être matériel significatif pour une majorité de la population.

Toute économie comporte des forces qui interagissent entre elles par les millions de décisions individuelles et collectives (via les institutions, les firmes et les partis politiques) qui s’entrechoquent : travail, épargne, loisir, efforts, type et quantité de production et de consommation des intervenants, risques encourus dans certains projets. La rareté relative, les préférences individuelles (et collectives), les incitatifs, l’information et les choix sont les piliers de ces grandes forces.

Dans la tête d’un économiste Pascal Bédard

Plan

o L’échange : la base de tout!

o Produire ce qui est demandé

o La coordination des efforts de production : le rôle des firmes

o La rareté, les prix et l’allocation des ressources

o L’offre et la demande

o Les imperfections de

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