Economie de la banque et assurance
Dissertation : Economie de la banque et assurance. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mika Mickael • 22 Août 2016 • Dissertation • 6 394 Mots (26 Pages) • 884 Vues
Expose Economie
de la banque et l’assurance
L’Union Bancaire Européenne
Ugo Capobianco - Mikael Poncelet - Gino Socorsso-Torres
SOMMAIRE
I Introduction
II Analyse du texte
1) Union bancaire en bref
2) Comment l’union bancaire va t elle donner naissance à un secteur bancaire plus sure dans la zone euro ?
3) Mécanisme de soutien
4) La Crise
5) Les critiques de bale III d’investissement
6) Mesure de sanction contre une banque
7) Ces mesures seront-elle suffisante ?
8) Que se passera t il si des problèmes surviennent avant que tout le système ne soit opérationnel ?
9) Conclusion
III Commentaire du texte
1) Les relations entre les différents pays sur la création de l’union bancaire
2) L’importance de la notation
3) Le MSU peut-il être pour le secteur bancaire un excès de régulation ?
4) Conclusion
IV La Banque centrale européenne de manière générale.
1) Quels sont les principaux défis de la Banque centrale européenne?
2) L’euro en situation de blocage
3) Réformer et démocratiser la politique monétaire européenne
4) La Banque central européenne peut elle augmenter la croissance ?
5) La transparence de la politique monétaire de la BCE.
6) Conclusion
V Conclusion Générale
Zone euro Les banques restent vulnérables
VI Annexes
I Introduction
Dès les années 70 les banques ont été incité à se doter d’un cadre règlementaire et prudentiel pour éviter les faillites et leur répercutaient sur les autres secteurs de l’économie. Toutefois en 1974 la faillite de la banque ouest allemande Herstaff à ébranler les marchés des changes en paralysant le système des paiements interbancaires à new York et a failli entrainer la chute de plusieurs autres établissements. Déjà nous constations les risques d’une internationalisation de plus en plus présente des banques il est décidé après cette faillite. La naissance de Bâle 1 réunissant les pays du G10 pour laquelle une proposition est adoptée de surveillance bancaire avec de nouvelles règlementations, ce comité se réunit quatre fois par un. Par contre ses pouvoirs sont très limités en effet il édicte des recommandations et des bonnes pratiques, leurs applications sont laissées à l’appréciation des États membres
Les accords Bâle II sont venus compléter les précédents sans aucune incidence sur le comportement des banques. Néanmoins les États-Unis ont enfin accepté en 2010 d’appliquer les règles de Bâle III.
1988 Un accord sur un ratio international de solvabilité appelé ratio Cook, ce ratio est au cœur des accords dits de Bâle I, il met en évidence le principe selon lequel le financement de chaque risque doit comprendre un certain montant de fonds propres.
Le ratio est égal aux fonds propres sur encours crédit les accords le fixent à 8% .
Mais ces accords se révèlent rapidement insuffisants car ils ne prennent pas en compte les activités hors bilan des banques.
1995 Le scandale de la BARINGS : des erreurs sont dissimulées, des contrôles totalement défaillants, les pertes s’accumule jusqu'à représenter près de la moitié du capital de BARINGS. C’est une catastrophe naturelle au Japon qui a permis de mettre au grand jour les pertes colossales de cette banque, à cette époque un trader pouvait agir à la fois en « front » et « back office » c'est-à-dire une seule personne passée un ordre et l’enregistrer en saisissant les chiffres qu’il voulait. Une profonde refonte de ce système sera mis en place dans toutes salles du marché du monde
Dans les années 2000 plusieurs scandale pour comptabilités falsifiées on vu le jour des Etats-Unis ( ENRON , World COM ARTHUR ANDERSEN) Cela à entrainé les accord de Bale II avec de nouvelles normes IFRS à l’échelle mondiale . Les trois piliers de Bale II sont :
- Exigences des fonds propres
- Surveillance de la gestion des fonds propres
- transparence des marchés
On notera l’importance de la notation financière pour évaluer les risques, soit par des agences, soit en interne.
Pourtant bien étoffée, les accords de bale III n’empêcheront pas la déroute financière de 2008. En effet bale II n’est jamais entré en vigueur outre Atlantique
II Analyse du texte
1) Union bancaire en bref
Crise de 2008 la commission européenne à analyser cette crise pour en tirer les conséquence qui aboutira sur un secteur financier plus sure et plus au sain de L’ UE.
Elle a mis en place 28 nouveaux instrument afin de réguler, surveiller et avoir une gouvernance plus efficace dans le secteur financier, l’incidence premier de ces propositions feront que les contribuables ne seront plus sollicités pour les erreurs des banques .
Les politiques mises en œuvre en sein de l’Union européenne n’ont pas réussi à rétablir durablement la stabilité financière au sein de la zone euro et à empêcher les effets de contagion d’une crise bancaire survenant dans un pays de la zone
La crise financière s’est transformée en une crise de la dette zone euro , on voudrait arrêter le cercle vicieux entre banque et finance publique national , d’ou la création zone euro en 2010 de l’union bancaire .
- Exigence des fonds propres
- un cadre commun pour gérer des sorties de crise si une banque se trouve en difficulté
- une garantie pour les épargnants de leurs dépôts à concurrence de 100 000€
Toutes ces règles communes sont entrées en vigueurs en Novembre 2014.
Face à cette difficulté les dirigeants européens on décidait de réaliser une union bancaire européenne , dont le premier pilier sera le MSU . La BCE dont l’action principale concerne la politique de la zone euro voit ces compétences s’élargir avec la mise en œuvre du MSU.
La Banque centrale européenne devient l’autorité de surveillance des 6000 banques de la zone euro dans le cadre de surveillance Uniques . La BCE supervise directement 128 grandes banques européennes jugées significatives dont 13 groupes bancaire français représentant 95% du système national ( BNP Crédit Agricole Société générale ….)
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