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Dm économie: attractivité et croissance

Dissertation : Dm économie: attractivité et croissance. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Avril 2015  •  1 714 Mots (7 Pages)  •  1 356 Vues

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DM Economie

A réaliser pour le 18 mars 2015

Attractivité et croissance

Créé par décret du 22 avril 2013, le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) se substitue au Centre d’analyse stratégique.

Lieu d’échanges et de concertation, le Commissariat général à la stratégie et à la prospective apporte son concours au Gouvernement pour la détermination des grandes orientations de l’avenir de la nation et des objectifs à moyen et long termes de son développement économique, social, culturel et environnemental. Il contribue, par ailleurs, à la préparation des réformes décidées par les pouvoirs publics.

Jean Pisani-Ferry a été nommé, sur proposition du Premier ministre, Commissaire général à la stratégie et à la prospective en Conseil des ministres du 24 avril 2013.

Le Commissariat général à la stratégie et à la prospective, lieu transversal de concertation et de réflexion, s’attache à :

 Renouveler l’approche de la stratégie et de la prospective économique et sociale afin d’éclairer les pouvoirs publics sur les trajectoires possibles à moyen et long termes pour la France en matière économique, sociale, culturelle et environnementale.

 Redonner vigueur à la concertation avec les partenaires sociaux et développer le dialogue avec les acteurs de la société civile.

Le CGSP doit établir avec votre concours un rapport sur les nouveaux leviers de croissance pour la France.

À l'aide du dossier joint et de vos connaissances, en veillant à préciser les principaux concepts utilisés et à exploiter les sources statistiques mises à votre disposition, vous devez répondre de façon argumentée et structurée.

1. Vous analyserez l’évolution de la croissance française et de ses composantes

2. Vous apprécierez la situation de la France en termes d’attractivité en mesurerez les conséquences sur l’économie

3. Vous présenterez les différentes réformes possibles à mettre en œuvre et leurs enjeux

DOSSIER DOCUMENTAIRE

Document 1 : Les indicateurs de l’économie française

Document 2 Le PIB : les trois approches à prix courants

Document 3 Attractivité économique : où en est vraiment la France ?

La France est-elle encore attractive pour les entreprises étrangères ? Comment définit-on l'attractivité ? François Hollande a reçu, lundi 17 février, de grands patrons étrangers, sur fond de baisse des investissements étrangers dans l'Hexagone pour formuler une série de mesures. L'occasion de faire le point sur cette question.

1/ LA FRANCE EST-ELLE MOINS ATTRACTIVE ÉCONOMIQUEMENT ?

En général, on mesure l'attractivité au nombre d'implantations de sociétés étrangères dans un pays, ou à travers le montant des investissements directs d'opérateurs étrangers. Ceux-ci, qui étaient restés stables en 2012, sont en chute, selon le dernier rapport de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), de 77 % en 2013. Mais cette institution a pu, par le passé, opérer de spectaculaires redressements chiffrés.

Si on peut donc discuter des chiffres, et si notre pays demeure une destination de choix, où près d'un salarié sur deux travaille pour une multinationale, et où la moitié du CAC 40 est détenue par des capitaux étrangers, reste que la « maison France » attire moins d'investissements qu'il y a quelques années.

2/ QUELS SONT LES CRITÈRES DE L'ATTRACTIVITÉ ?

Quelles sont les raisons de cette baisse d'attractivité ? Et quels sont les critères que regarde une entreprise avant de s'implanter dans un pays ? On met souvent en avant des éléments conjoncturels, comme le niveau d'imposition ou les cotisations payées par les entreprises. Mais ceux-ci varient, et ne sont pas forcément les premiers critères retenus par les entreprises.

Après s'être maintenue longtemps à son niveau, la France « décroche » de son voisin allemand en matière de compétitivité salariale et de dette, comme le lui reprochent nombre d'instances internationales.

Ce sont les « signaux » négatifs envoyés par le pays qui sont le plus souvent cités : une forme de « désamour » pour l'entreprise, notamment, exprimé au travers de quelques crises médiatiques, par exemple la bagarre entre Arnaud Montebourg et Maurice Taylor, patron de Titan. Ce sont également des « signes » que réclament les patrons à François Hollande.

3/ COMMENT AMÉLIORER CETTE ATTRACTIVITÉ ?

Malgré ce désamour, la France a des beaux restes : infrastructures de qualité, population active bien formée, dispositifs d'aide attractifs…

Et le gouvernement de gauche multiplie les « signes » à l'égard de l'entreprise, notamment avec le « pacte de productivité » ou les baisses de cotisations, mais aussi en « soignant » les investisseurs étrangers. Une politique « de l'offre » qui lui vaut des critiques croissantes d'une partie de la gauche. Paris a aussi relancé la « marque France » pour mieux valoriser les productions nationales.

D'autres questions se posent, par exemple la politique de l'euro fort, qu'une partie du gouvernement juge responsable de la perte de compétitivité française.

Le Monde.fr | 17.02.2014

Document 4 Les investisseurs étrangers délaissent la France

Document 5 Les réformes structurelles sont difficiles, mais indispensables

Trop

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