Courant libéral économique

1. Courant libéral :

• • Courant classique (fin 18 siècle) : Adam Smith, Ricardo, Say, Malthus. Leur analyse porte sur de grands principes :

1. L’individualisme des agents économiques : on parle de l’utilitarisme (≠intervention d’état) c a d dire chacun cherche son intérêt particulier par la maximisation des satisfactions et minimisant l’effort (hédonisme) → Smith.

2. Affirmation de la liberté économique : la propriété privée des moyens de production est une garantie de liberté. Le marché constitue le régulateur le plus efficace de l’activité économique (on parle également de socialisation par le marché). La recherche de l’intérêt individuel permet de réaliser l’intérêt général car il existe une main invisible (le marché) qui guide les passions individuelles vers le bien de tous.

Le rôle de l’Etat selon Von Mises (1983, p 39), est de « garantir le fonctionnement sans heurts de l’économie de marché contre la fraude et la violence, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays ». Etat gendarme.

3. La permanence de l’équilibre économique : Le système conduit par la liberté économique tend naturellement vers l’équilibre. Say stipule que « toute offre crée ses débouchés »

1. A. La division du travail : Processus de production=combinaison des facteurs de production (Terre/ travail/ capital). Plus la div. du W est poussé plus le pdt obtenu sera élevé. Adam Smith a mis l’accent sur la div. du W en introduisant le célèbre exemple de la manufacture d’épingles. Avantages : accroissement de l’habilité de l’ouvrier qui augmente la qualité du W, gain de temps, invention des machines à abréger et à faciliter le W.
2. B. La théorie de la valeur : s’interroge sur la richesse qu’il faut produire. Adam Smith et Ricardo cherchent une théorie objective de la valeur, recherchant au-delà de la valeur d’usage des biens, les fondements d’une valeur d’échange acceptable par tous. (la valeur relative et échangeable des marchandises) Pour Smith, le seul facteur de Prod est le travail donc le travail est la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise. Ricardo rappelle que les quantités proportionnelles de travail nécessaire pour obtenir chaque objet paraissent les seules règles d’échange possible, mais il y a aussi le travail incorporé (outils+machines). Say revient sur la théorie subjective de la valeur : l’utilité (attacher la valeur à une chose ; satisfaire aux divers besoins des hommes)
3. C. La loi des débouchés : l’offre crée la demande, c’est la production qui ouvre des débouchés aux produits, les pdts s’échangeaient contre autres et que la monnaie qu’un office passager dans ce double échange ainsi la valeur d’un pdt est relative à un autre.

+++ De producteurs = +++ de débouchés.

1. D. La théorie quantitative de la monnaie (TQM) : marchandise intermédiaire de transactions économiques (JB say). L’équation est simple : M v = p Y

M : masse monétaire v=vitesse de circulation de la monnaie p le niveau général des prix Y les transactions économiques

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