Cheville ouvrière de la campagne présidentielle
Note de Recherches : Cheville ouvrière de la campagne présidentielle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Vicoratm • 26 Mai 2014 • 260 Mots (2 Pages) • 637 Vues
Cheville ouvrière de la campagne présidentielle, ce fidèle de Jean-François Copé était charger d'organiser les meetings, composer les salles, orchestrer la claque, et pénétrer le premier cercle des conseillers du président, qui apprécie son efficacité et sa discrétion. Sur BFMTV, il explique les difficultés à boucler des comptes de campagne avec « seulement 22 millions d'euros » :
« Les sociétés qui ont participé à la réalisation des meetings ont fait des prestations réelles souvent dans l'urgence, au dernier moment dans des conditions difficiles et elles avaient une réelle qualité. Tout ceci coûtait de l'argent que ne permettaient pas d'absorber les comptes de campagnes.
Une partie a été mise dans les comptes, et une autre partie, pour ne pas que les sociétés soient dans une situation délicate, a été absorbée par l'UMP. Il y a eu des factures présentées par l'UMP qui ont été faites pour des dépenses de campagnes. Ceci n'a rien d'anormal. (...) C'est impossible de faire une campagne électorale avec 22 millions d'euros »
Jérôme Lavrilleux a tenu à insister sur le fait que « ni Copé, ni Sarkozy n'ont été mis au courant des dérives » des comptes de la campagne présidentielle de 2012.
En outre, l'ancien responsable de la campagne de Nicolas Sarkozy affirme qu'il « n'y pas eu d'enrichissement personnel » dans cette affaire Bygmalion, dédouanant notamment le député Pierre Lellouche dont le nom a été cité et qui a annoncé son intention de déposer plainte.
Jérôme Lavrilleux, également député européen, a annoncé qu'il n'avait pas démissionné de ses fonctions, mais qu'il se tenait à disposition de la justice.
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