Catégories PCS
TD : Catégories PCS. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar adios • 2 Janvier 2017 • TD • 394 Mots (2 Pages) • 392 Vues
PCS
Mes grands parents paternels et maternels avaient le même métier, de ce fait, leur PCS est :
- au niveau 1 : 6 pour « ouvrier »
- au niveau 2 : 69 pour « ouvriers agricoles et assimilés »
Ma mère est femme de ménage, au service de particuliers, de ce fait son PCS est :
- au niveau 1 : 5 pour « employés »
- au niveau 2 : 56 pour « personnels des services directs aux particuliers »
Mon père, ancien ouvrier qualifié en tant que maçon à la retraite a pour PCS :
- au niveau 1 : 6 car étant « ouvrier »
- au niveau 2 : 61 car il est « ouvrier qualifié »
- si on veut être plus précis, nous noterons que son PCS au niveau 3 est 63 car il est ouvrier qualifié en artisanat 632a
Quant à moi, étant étudiant, donc non dans le monde actif, mon PCS est :
- au niveau 1 : 8 pour « autres personnes sans activités professionnelles »
- au niveau 2 : 82 pour « inactifs divers (autres que retraités) »
- (et devient 84 au niveau 3 pour « élèves, étudiants »)
Il est évident que les PCS, en tant qu’outil, est d’une utilité considérable. En effet, le PCS peut mesurer non seulement les inégalités sociales, mais aussi culturelles avec plus ou moins de précision, étant donné que les PCS sont sur quatre niveaux. D’ailleurs, les PCS permettent le calcul d’un revenu moyen, ce qui met en exergue l’écart de niveaux de vie. Comme évoqué précédemment, plusieurs inégalités sont observables, l’espérance de vie (bien que tous aient accès à la sécurité sociale), le niveau de vie moyen par le revenu, l’accès aux technologies, la fréquentation de lieux de culture. On en déduit donc les PCS permettent une étude des inégalités sous plusieurs dimensions.
Néanmoins, bien que les PCS permettent une analyse d’inégalités entre les classes, ils ne permettent pas la vision d’inégalités parmi les membres d’un même groupe. Pourtant, entre membres d’un même groupe, la moyenne, sous entendu par groupe, par exemple des revenus, masque de très grands écarts, sans compter la situation familiale qui joue un rôle important en ce qui concerne les inégalités. On constate également que les inégalités discriminatoires ne sont pas prises en compte, que ce soit l’age ou le sexe.
On en conclut que les PCS restent un outil indispensable dans l’analyse des inégalités bien que cet outil ne soit pas assez fin.
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