Cas d'entreprise GDF Suez
Analyse sectorielle : Cas d'entreprise GDF Suez. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar neji666 • 17 Février 2015 • Analyse sectorielle • 503 Mots (3 Pages) • 588 Vues
Cas GDF Suez.
1. Une partie prenante est un individu ou groupe d’individus qui peuvent influencer ou être affectés, directement ou indirectement, par les décisions prises dans une entreprise. On distingue les parties prenantes internes (dirigeants, salariés, actionnaires, syndicats) et les parties prenantes externes (fournisseurs, clients, associations, Etat…).
Les parties prenante identifier ici sont l’Etat parties prenantes externes, les dirigeants les salariés tout deux parties prenantes internes, la CGT partie prenante externe mais à la fois interne le groupe Suez partie prenante interne après la fusion.
L’Etat va se désengager au sein de GDF en 2004 car elle est passée du statut d’entreprise publique en société anonyme. En se privatisant, l’Etat, qui était le principal actionnaire.
Le groupe franco-belge SUEZ, en 2008, fusionne avec GDF dans le projet d’avoir le monopole sur le marché dans les domaines énergiques et environnementaux et la distribution du gaz.
La CGT représente un contre-pouvoir autant interne, par les représentants syndicaux de l’entreprise, qu’externe au niveau national. Elle représente les salariés les négociations collectives des conditions générales de travail. Leur contre-pouvoir, ici s’exprime par une grève des salariés.
Les dirigeants de GDF-Suezexpose des finalités environnementale basée sur le développement durable ce qui permet des modes de productions préservant l’environnement et les ressources naturelles tout engarantissant des produits de qualités aux consommateurs.
Les salariés constituent le capital humain à l’activité et au développement de l’entreprise. Ils constituent donc un contre-pouvoir puisque les objectifs de l’entreprise ne peuvent être atteints sans leur participation. Ici, n’obtenant pas ce qu’ils veulent, les salariés se sont mis en grève.
2. La gouvernance est un système qui doit permettre de trouver un juste milieu entre les intérêts des différentes parties prenantes.
Le problème de gouvernance posé par le projet des dirigeants de GDF Suez est que les dirigeants avaient prévus de s’attribuer la totalité des stock-options, de 10 millions d’euros. Ce qui a entrainé un mécontentement de la part des salariés voyant ne pas en profiter eux aussi, alors que les dirigeants estimaient « impossible d’augmenter les salaires »
Les salariés se sont mis en grève, réclamant une augmentation de 7.5% sur leurs salaires et une prime annuelle de 1.500€.
3. Pour résoudre ce problème, les dirigeants ont décidé de ne pas s’attribuer les stock-options d’une valeur de 10 millions d’euros.Cette décision a pour conséquence une répartition équitable de ces stock-options entre les salariés et les dirigeants de GDF SUEZ.
Ces solutions peuvent avoir des conséquences :
Une grève durable des employés car sans bonus pour l’entreprise, il ne pourra pas y avoir d’augmentations de salaires ou de primes.
Le refus de l’Etat à ne pas subventionner l’entreprise.
La CGT qui ne verra pas ses objectifs atteints.
Question 4.
Le
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