Quelles sont les fondements du commerce international et de l’internalisation de la production ?
Cours : Quelles sont les fondements du commerce international et de l’internalisation de la production ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar elgeneroso • 27 Novembre 2016 • Cours • 1 765 Mots (8 Pages) • 1 160 Vues
Quelles sont les fondements du commerce international et de l’internalisation de la production ?
Intro : La M° est un terme multidimensionnel, c’est un processus qui s’apparente à la mise en place de vastes marchés indépendants. La M° c’est le processus qui aboutit à l’émergence d’un vaste marché mondial des biens, services, capitaux, de la force de travail en s’affranchissant de + en + des frontières politiques des Etats et accentue les interdépendances. La M° est un phénomène complexe qui recouvre une grande diversité de processus :
- Ouverture des économies nationales aux transactions internationales
- Mobilité internationale des capitaux
- Effacement progressif des frontières
- L’internalisation des éco résulte de l’essor des échanges internationaux
Quels sont les fondements et les effets de ces échanges internationaux ?
- L’évolution du commerce international
- Quelques repères historiques
- 1ère M : 16ème
- 2 : 19ème
- 3 : 1980
- PED : pays en D
- PDEM : pays D à éco de marché
Certains éléments ont favorisés l’émergence de la M° comme l’amélioration des transports (bateaux, avions) , la mise en place de zone de libre échange (régionalisme), la stabilité politique, la politique libérale (OMC, FMI, la banque mondiale)
Pour certains pays on distingue des obstacles : douanes (barrières tarifaires) instabilité politique avec la guerre…
Synthèse :
La première R-Industriel à accéléré l’internalisation des échanges. Ainsi au 19ème le CI est dominé par l’Europe (RU : 23% ; France : 10%, Allemagne : 11%). On Constate que le CI augmente en période de C et baisse en période de récession. Pour connaître l’implication d’un pays dans le CI on réalise le taux d‘ouverture :
Le taux d’ouverture nous permet de connaître :
- Le taux d’ouverture d’un pays
- Le degré de participation aux échanges inter
- Permet comparaisons entre les nations
Plusieurs éléments ont permis le D des échanges :
- L’idéologie du L.E qui s’est imposé après les accords GATT
- Le P technique (transports, moyens de communications)
- La faiblesse d’une monnaie par rapport à une autre
Les obstacles :
- Montagnes, enclavement, distance, océan
- Frontière, taxe douanière, quotas
- Les évolutions récentes du CI
La chine 52 % des exportations en 2013, l’UE, la Chine et les USA sont les principaux exportateurs et importateurs.
Dans le CI les marchandises échangées en interne n’apparaissent pas
- Les PDEM exportent davantage de services : tourisme, services bancaires, comptabilité
- Alors que les PED des biens : café, textile, coton blé, énergie
Ide : il faut au moins posséder 10 % des actions d’une entreprise
- Les déterminants de l’échange international :
- Importer ce que l’économie nationale ne peut produire
Prendre un café ou un chocolat, mettre du carburant : autant de consommation que l’économie Française peut produire. Pour satisfaire la conso domestique il est nécessaire d’avoir recours à l’importation : première explication des échanges
- Importer ce que l’économie nationale produit trop cher
Acheter un ordi ou des vêtements suppose dans la plus part des cas acheter un produit fabriqué à l’étranger. En effet, ces produits viennent en générale d’Asie alors qu’on pourrait les produire en France mais à des coûts plus élevés en raison du prix de la main d’œuvre.
PK produire ce qui peut être importé à moindre coût de l’étranger ?
- Avantages absolu et comparatifs
La loi de l’avantage absolu d’Adam Smith dans la richesse des nations (1776)
Selon lui : le CI est un jeu à somme positive puisque produire en fonction de ses avantages absolus maximise l’avantage collectif comme cela fait baisser les prix: Ainsi, chaque pays doivent se spécialiser dans la production de biens dans lesquels ses coûts sont les plus faibles c’est-à-dire dans la spécialisation ou il possède un avantage absolu.
A l’inverse, il souligne que chaque pays à intérêt à importer ce qu’il produit à des coûts plus élevés que l’étranger.
La limite de cette approche : un pays qui ne possède aucun avantage absolu va être exclu du CI.
David Ricardo : approfondie la théorie d’Adam Smith dans sa loi des avantages comparatifs. Il étudie les coûts d’un même produit entre 2 pays. Il prend l’exemple de l’Angleterre et du Portugal qui produisent 2 biens le draps et le vins.
Selon la théorie de l’avantage absolu, le Port aurait intérêt à produire à la foi du vin et des draps. Cependant en comparant l’efficacité respective des Britanniques et des portugais, on s’aperçoit la différence d’efficacité est moindre pour le drap que pour le vin. Pour Ricardo, l’intérêt des 2 pays passe par une spécialisation vinicole pour le Portugal et une spécialisation des draps pour les Britanniques.
La mise en place de l’avantage comparatif et absolu par tous les pays aura plusieurs effets positifs :
- Augmenter la demande
- Consolider la spécialisation d’un pays
- Augmenter la croissance et les échanges
Limite :
- Valeurs des biens ne s’évaluent que par la valeur du coût du travail
- Pour lui les rendements sont constants ou décroissants
- Il considère que les facteurs de production sont mobiles uniquement au sein des pays.
- La division internationale du travail et dotations factorielles
Dotation factorielle :
Dans la pensée néoclassique (HOS) la dotation factorielle désigne l’abondance relative des facteurs de production des nations. Une nation à intérêt à ce spécialisé dans la production d’un bien demandant relativement beaucoup du facteur dont elle doté en abondance.
- La théorie HOS :
Selon cette théorie, tout pays a intérêt à se spécialiser dans la production et l’exportation des biens qui utilisent le plus intensément le facteur de production le plus abondant dans le pays
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