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Le coefficient d'élasticité-mesure, mesure du lien revenu-consommation.

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Par   •  20 Mars 2016  •  Analyse sectorielle  •  1 247 Mots (5 Pages)  •  920 Vues

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        B. Le coefficient d'élasticité-mesure, mesure du lien revenu-consommation.

        Lorsqu'un bien a une elasticité-revenu relative, il s'agit d'un bien inférieur, dont la consommation diminue lorsque le revenu augmente. Ces biens inférieurs correspondent à la première lois d'Engel. (biens alimentaire, biens d'habillement)
Les biens ayant une élasticité-revenu comprise entre 0 et 1 sont dis normaux. Leurs consommations augmentent proportionnellement au revenu.
 Enfin, les biens ayant une élasticité-revenu supérieure à 1, sont dis supérieur ou biens de luxe. Leurs consommations augmentent plus vite que le revenu. Ils correspondent à la troisième lois d'Engel.

IV. La relation entre le prix et la consommation.

        A. L'influence du prix sur la consommation.

question 1 p.24: La multiplication par plus de 10 de la dose de vaccin aux Etats-Unis en 2004-2005 s'explique par deux mécanismes:
         - un phénomène de rareté, de pénurie résultant de l'arrêt de la production d'un des fabriquants.
         - la prise de conscience des distributeurs que les clients étaient prêts à payer beaucoup plus chers les dernières doses disponibles. En effet, pour les consommateurs Américains, la santé est un bien primordial.

question 2 p.24: Les consommateurs continuent à acheter des vaccins même lorsque le prix augmente fortement. La demande de vaccins est dite inélastique ou rigide par rapport au prix.

question 3 p.24: Si le prix des céréales du petit déjeuné est multiplié par 10, les consommateurs s'orianteront vers un produit de subsitution dont le prix reste stable: ils n'acheteront plus de céréales.

Synthèse: Le deuxième déterminants de la consommation est le prix. Il exerce avec le revenu une contrainte budgétaire sur le consommateur.
 La plus part des biens ont une élasticité prix négative: ils sont dit typiques. Mais certains biens atypique ont une élasticité-prix positive.

        B. L'élasticité-prix mesure du lien prix-consommation.

Synthèse: Le lien économique entre le prix et la consommation est mesuré par le coefficient d'élasticité-prix noté: e c/p qui est calculé ainsi: e c/p= variation relative de la consommation / variation relative du prix = Delta C / Delta P.
La plupart des biens ont une élasticité-prix négative: ce sont les biens typiques. Mais il existe des biens atypiques, dont l'elasticité-prix est positive qui peuvent répondre à deux logiques:

        - Celle des biens Giffen dont la consommation augmente malgré la hausse du prix car les ménages reportent leur pouvoir d'achat sur ce bien de base. (exemple: riz dans les pays pauvres d'Asie.)
        - La logique des biens Veblen.
La consommation de ces biens est d'autant plus forte que le prix est élevé car un tel prix est une condition de satisfaction puisqu'il permet d'éliminer la masse des consommateur et il permet ainsi la distinction et la reconnaissance sociale entre quelques Happy fews.

V. Les transformations de la consommation des ménages depuis 1960.

        A. L'évolution du pouvoir d'achat et de la consommation.

La consommation des ménages exprimé en volume ou à prix constant est plus rigoureuse que celle exprimée en valeur ou à prix courant car on a enlevé dans la première l'influence des prix (l'effet prix) pour ne tenir compte que les quantités. Ainsi on peut effectuer des comparaisons dans le temps et dans l'espace.
La consommation effective des ménages est la somme de leur consommation finale achetée sur un marché et de leur consommation de leur service non marchand offert à titre quasi-gratuit par l’État (la collectivité).
Oui, on peut dire que la consommation des ménages a augmenté chaque année, sauf en 1993 puisque la courbe bleue représentant le taux de variation de cette consommation est restée toujours au dessus de l'axe des abscisse au dessus de 0 %.
Sur plusieurs années ces deux courbes sont assez fortement corrélées et ça se mesure par un coefficient de corrélation. Elles ont le même trend.
De 1984 à 1988 le taux de variation de la consommation a été très nettement supérieur au taux de variation de leur pouvoir d'achat.
La cause fondamentale les ménages peuvent augmenter leur dépenses.
A cours terme, les ménages peuvent augmenter leurs dépenses plus ou moins vite que leurs pouvoir d’achat en jouant sur leur épargne et sur leur endettement.
La consommation effective des ménages est constituée de par leur consommation finale et par leur consommation de services non marchand.
Consommation effective = consommation finale + consommation de services non marchands.
La consommation finale est celle qu'ils ont acheté sur un marché  alors que la consommation non marchande est composée des services dont ils bénéficient à titre gratuit ou quasi-gratuit car c'est financé par les  prélèvements obligatoires.
Sur la période 1960-2011, cette consommation effective a été multipliée par 4,63 témoignant d'une hausse importante du niveau de vie des ménages. Par individu cette consommation effective a été multipliée par 3,2 Notant aussi que la consommation de service non-marchand a augmenté plus vite que la consommation finale (CM de 5,75 contre 4,66) ce qui témoigne d'un niveau plus élevé de redistribution des richesses.Si l'on compare la variation relative du pouvoir d'achat des ménages et leur consommation on constate d'une part un net ralentissement de ces deux grandeurs depuis 1960 même si elles ont continuées a augmenté sur toute la période.
Enfin on observe que si à long terme,les deux variables sont assez fortement corrélées, à cours
 terme, sur quelques mois, elles ne le sont plus car les ménages peuvent jouer sur leurs niveau d'épargne et sur leur niveau d'endettement.

B
- Les différentes logiques de production.
 Doc2 p48.
1) Selon l'atlas 2009 de l'économie sociale et solidaire à la même date, 9% des salariés travaillaient dans ce tiers-secteur.

2) deux exemples d'associations: resto du cœur, croix rouge.
Deux exemples de coopératives: coopératives viticoles, de matériaux agricoles, fromagère.
Mutuelles: MAAF
Fondations: banque populaire

Synthèse : Dans l'économie de marché contemporainement, on peut distinguer 3 types d'acteurs correspondant à 3 logiques économiques distinctes :
tout d'abord les entreprises dans le but est de faire des profits en offrant des biens et des services sur un marché. Ces entreprises sont dites privées lorsque leurs capitales est contrôlés par des investisseurs privés, et sont dites publics quand leurs capitales sont contrôlées par des collectivités territoriales.
D'autre part, les administrations publics dont l'objectif est d'atteindre l'intérêt général tel que le défini le Législateur. (les Parlementaires, députés/ Sénateurs)
Cet intérêt général peut-être la réduction des inégalités, l'unité du territoire.
En France, le droit public confit ainsi aux administrations publics la gestion de service public comportant des obligations de services publics : par exemple l'égalité d'accès de tous aux services.
Enfin, les administrations publics offrent des services non-marchands dans le cas où les consommateurs ne seraient pas forcément prêts à payer. C'est le cas des biens publics tel que l'éclairage des rues ou même la défense du territoire.
Les organismes du tiers-secteur offrent des services à leur adhérents sans rechercher le profit leur logique est non lucrative, ce tirers secteur est constitué par les associations, les coopératives, les mutuelles, et les fondations et emploie 9% de la population active des salariés.

II. Qu'est-ce qu'une entreprise .

A. Produire des richesses pour un marché :

Exploitation bois
Usinage
Assemblage
Contrôle qualité du produit
Commercialisation

 Ce distributeur de New York produit un service, un conseil, de reprise de produit ancien, de réparation et même de publicité.
Les trois secteurs d'activités au sens de C. Clark sont présents dans la filière guitare : le primaire est représenté par la sylvi-culture d'acajou. Le secondaire par les industries du bois et du métal. Le terciaire est représenté par le distributaire commerciale de guitare.

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