Mesure de la consommation de dioxygène

TP2, thème 3 (cor et barème)

correction

Activité n°1 : Mesure de la consommation de dioxygène

Titre du graphique :la consommation de dioxygène en fonction du temps

a-indication en-dessous :avant l’effort, pendant l’effort, après l’effort

b/-La consommation de dioxygène varie en fonction de l’effort et elle augmente avec l’intensité de l’effort

c/-Lors d’un effort physique, il y a augmentation du prélèvement d’ par unité de temps et par unité de masse (Intensité Respiratoire), qui peut atteindre une valeur maximale : le V max.

Ce dernier varie d’une personne à l’autre en fonction de l’entraînement (qui l’augmente), âge, sexe, et de facteurs génétiques…

Après l'arrêt des flexions, la consommation de augmente toujours.

L’I.R. diminue mais reste éloignée de la valeur de repos pour payer la dette en O2 contractée lors de l’effort

Activité n°2 : Débit ventilatoire et prélèvement de dioxygène

Titre du graphique :Volume d’air ventilé en fonction du temps et de l’effort

e-traçage sur le graphique :au repos, 8 flexions, 16 flexions

f/-tableau

g/-le débit ventilatoire varie en fonction de l’intensité de l’effort, et ceci permet de renouveler l’air qui passe dans les poumons

activité n°1 à 3 p 191

1-Dans un effort de type marathon, après quelques secondes nécessaires à la mise en route des mécanismes respiratoires, ces derniers utilisent dans un premier temps (un peu moins de 2 minutes) majoritairement les glucides. Puis cette utilisation baisse au profit de celle des lipides (voire des protéines dans certains cas exceptionnels).

2. Chez le sujet couché, le QR est voisin de 0,83 : le sujet utilise à la fois des glucides et des lipides.

Lors d’un travail physique d’intensité moyenne, le QR est voisin de 0,96 : le sujet utilise de plus en plus de glucides.

Lors d’un travail physique de forte intensité, le QR est voisin de 0,99 : le sujet n’utilise quasiment que des glucides.

3. La LIPOX max correspond dans l’exemple choisi à peu près à 0,4 g/min et à un effort de puissance égale à 50-60 % de la puissance maximale développée. Par conséquent, cette puissance modérée est la plus favorable à la perte de poids.

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