Is the consumer society related to a form of progress for the people?
TD : Is the consumer society related to a form of progress for the people?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Cindy Lapaquellerie • 24 Avril 2018 • TD • 1 210 Mots (5 Pages) • 814 Vues
Cindy Lapaquellerie 17/03/17
Discours du Président Algérien
Houari Boumédiène
Mohamed ben Brahim Boukharouba dit Houari Boumédiène fut le second président de l’Algérie de 1976 à 1978. Il a prononcé un discours le 10 avril 1974 à New York consacrée aux matières premières, lors d’une réunion spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU, convoqué par lui-même. Son souhait est de changer l’économie international, que ce ne soit plus seulement quelques puissances dans le monde qui décide de l’avenir de chaque pays, et que le monde ne soit plus séparé en deux blocs, le bloc des pays « riches », et celui des pays « pauvres ».
Tout au long de son discours, l’ancien président de l’Algérie, soutient et défend le fait que seulement quelques pays soient à l’origine des décisions les plus importantes, que ce soit au niveau de l’économie ou autres, les pays du Tiers-Monde sont donc excluent. L’idée principale de cette Assemblée est donc d’instaurer un nouvel ordre économique international, pour pouvoir relancer économiquement ces pays, mais aussi faire en sorte qu’ils ne soient plus considérés comme seulement des pays du Tiers-Monde, mais encore du reste du monde, mais qu’ils soient au même statut que toutes les grandes puissances. Cette décision a été prise par l’organisation des pays non-alignés, regroupant 77 pays à cette période. Le discours qui a été prononcé ne concerne pas seulement l’Algérie, en prenant la parole de cette façon Monsieur Boumédiène parle au nom de tous les pays pauvres, ou en voie de développement, son rôle ce jour-là, et que des décisions soient prises et surtout qu’elles soient appliquées. On peut déjà souligner une chose importante, les grandes puissances de ce monde pense à leur économie, à se développer toujours et encore plus, leurs problèmes peuvent donc être qualifiés de superflus, mais l’ancien Président d’Algérie, lui, pense à son pays, à sa population, mais aussi aux autres pays qui sont dans la même situation. Au jour d’aujourd’hui, la situation a très peu évolué, beaucoup de fond sont débloqués pour des problèmes mineurs, alors que la misère de certain pays aurait pu être réglé depuis maintenant de nombreuses années.
Le Président essaye de mener plusieurs combats, les principaux sujets abordés lors de ce discours sont :
- La prise en main par les pays sous-développés de leurs ressources, et de mettre fin à l’exploitation de celles-ci par les autres. Ce qui implique une exploitation de celles-ci, ce qui permettrait de rebooster l’économie nationale.
- Investir dans des technologies qui permettent de modifier les ressources naturelles sur place, ce qui rapportera toujours plus d’argent.
- Un soutien de la part des pays riches au niveau financier et technologique.
- Programme plus intense pour apporter une aide financière plus importante.
Effectivement, si chacune des grandes puissances avaient déployées les moyens nécessaires pour soutenir les propositions qui ont été faites, l’avancée économique aurait été beaucoup plus rapide. Les pays les plus riches s’étaient engagés il y a plusieurs années à consacrer 1% de leur PNB (Produit National Brut) pour l’aide des pays pauvres, mais réellement ce sont 0,3% de leur PNB qui y sont consacré. Malheureusement, il est compliqué d’imposer à un pays riche de faire quelques choses, les pays pauvres n’ont aucun pouvoir sur eux, la seule solution est d’essayer de faire changer les choses, en s’impliquant et en proposant des solutions comme l’a fait le Président Algérien de l’époque. Les pays comme la France et les Etats-Unis par exemple, ont leurs priorités : renforcer la sécurité dans leurs pays, construire de nouvelles infrastructures, etc ; alors que les autres pays ont de réels problèmes qui sont vitaux, mais personne n’est destiné à les aider.
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