Stéréotypes jouets filles
Étude de cas : Stéréotypes jouets filles. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar leol3003 • 18 Avril 2022 • Étude de cas • 595 Mots (3 Pages) • 402 Vues
Les inégalités sociales sont des différences entre individus ou groupes sociaux portant sur des avantages ou des désavantages dans l’accès à des ressources socialement valorisées. Dans un premier temps nous verrons les inégalités sociales entre hommes et femmes par rapport au monde du travail puis dans un second temps nous verrons les inégalités sociales face au logement en tant que jeune adulte.
Les inégalités sociales entre hommes et femmes se basent sur une discrimination sexuée, en effet, les femmes vont subir beaucoup d'inégalités, par exemple des inégalités d'accès à l'emploi malgré le fait qu'elles aient le même diplôme qu'un homme. Les femmes vont aussi gagner moins bien qu'un homme puisqu’elles sont plus enclines à avoir des emplois à temps partiel. Effectivement, les femmes vont plus subir le temps partiel parce qu’elles sont censées s'occuper des tâches ménagères et des enfants. Effectivement, d’après l’INSEE, les femmes françaises consacrent en moyenne 3h26 par jour aux tâches domestiques contre 2h pour les hommes. Ensuite, les femmes sont aussi moins présentes sur des postes à responsabilités : seulement 40% des cadres et 29% des PDG alors qu'elles ont les mêmes diplômes. On constate aussi que les femmes gagnent beaucoup moins d’argent que les hommes même si elles occupent le même poste qu’elles ont les mêmes responsabilités et la même ancienneté. Par exemple une femme cadre peut gagner jusqu'à 1000€ de moins qu'un homme dans la même entreprise. Pour lutter faces à ces inégalités, des mesures ont été prises comme d'allonger significativement la durée du congé paternité pour que ce soit moins les femmes qui s’occupent des enfants et qui auront donc un travail moins partiel. En effet, après une annonce du président de la République en 2020 le congé paternité devrait passer de 11 à 28 jours. Il faut aussi renforcer l’égalité professionnelle entre hommes et femmes dans les entreprises en renforçant les mécanismes de suivi des écarts de salaire ou encore en instaurant la parité dans les instances de décisions comme les entreprises ou les comités exécutifs.
Les inégalités sociales face au logement sont très importantes surtout pour les jeunes qui rentrent dans le monde professionnel. En France, la spirale des inégalités de logement est enclenchée puisque celui-ci est inabordable pour les nouvelles catégories de précaires. Les jeunes adultes et les plus modestes doivent faire face à une contrainte budgétaire inédite qui est en partie due de leur incapacité à être propriétaire. Alors qu’en 1985, pour un même type de ménage, le coût d’une pièce d’habitation rapporté au budget était quasi identique pour toutes les catégories de revenu, il est devenu aujourd’hui beaucoup plus cher de se loger lorsqu’on est pauvre que lorsqu’on est riche. En proportion des budgets, ce coût a doublé de 1985 à 2005 pour les 10 % des foyers les plus pauvres (de 6 à 13 % pour une pièce et un adulte seul) pendant qu’il est resté stable chez les plus favorisés. Les jeunes doivent aujourd’hui consacrer une part trois fois plus élevée de leur budget que leurs parents (16 % comparés à 5 %) pour disposer d’une pièce d’habitation par personne (contre le double vingt ans plus tôt). Autrement dit, les plus fragiles : jeunes, modestes, statuts précaires, donc le plus souvent les locataires, supportent, seuls, la surchauffe du marché immobilier. L’Etat a donc mis quelques aides pour subvenir aux besoins en logement pour les jeunes comme L'APL étudiant, pour les logements conventionnés comme L'APL étudiant, pour les logements conventionnés, l'ALS étudiant, pour les logements non conventionnés, L'ALF, pour l'étudiant qui a des enfants à charge ou encore l’avance Loca-pass pour les étudiants salariés
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