Comment les modèles urbains de Los Angeles et de Copenhague s'opposent-ils les uns aux autres?
Analyse sectorielle : Comment les modèles urbains de Los Angeles et de Copenhague s'opposent-ils les uns aux autres?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fgvhhcy111 • 3 Avril 2015 • Analyse sectorielle • 499 Mots (2 Pages) • 1 063 Vues
Montrez que les modèles urbains de Los Angeles et de Copenhague
s'opposent et que seul l'un des deux tente de satisfaire aux exigences
de la ville durable.
Introduction (non exigible telle quelle)
Nous disposons de deux documents: une photographie aérienne de la ville de Los Angeles, montrant notamment un
gigantesque échangeur autoroutier au coeur de la ville, et un texte extrait d'un article de J. Dumont posté sur le site paperblog,
qui décrit la politique de densification menée actuellement par la ville de Copenhague. Nous verrons comment les modèles
urbains de Los Angeles et Copenhague s'opposent puis comment le modèle de la densification tente de satisfaire aux
exigences de la ville durable.
Première partie (correspondant à la première partie du sujet)
Voyons tout d'abord en quoi les modèles urbains de Los Angeles et de Copenhague s'opposent.
Le modèle urbain de Los Angeles est celui de l'étalement. Sur la photographie, nous observons la ville qui s'étale à perte de
vue. En effet, la superficie urbaine de Los Angeles est de 1300 km² pour 3,8 millions d'habitants, soit une densité urbaine de
2939 habitants par km². Cette superficie s’accroît sans cesse et la densité urbaine diminue donc. Ce modèle est typique des
villes étasunienne, marquées par la domination de l'habitat individuel. Ainsi, le paysage urbain de Los Angeles est façonné par
des quartiers résidentiels pavillonnaires de banlieue, clairement observables sur la photographie. L'étalement urbain
s'accompagne de la toute-puissance de la voiture comme moyen de transport. Au centre de la photographie, le gigantesque
échangeur autoroutier situé en pleine ville de Los Angeles témoigne de son emprise spatiale. Les infrastructures routières
recouvrent la moitié de la superficie de la ville, qui s'est construite en intégrant l'automobile dans son organisation. Les centresvilles
sont plutôt délaissés par les populations aisées qui s'installent toujours plus loin aux limites de la ville, créant
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territoires urbanisés où tout autre mode de transport que la voiture est inadapté. Cette emprise spatiale de l'automobile est
renforcée par les habitudes des citadins de Los Angeles qui font leur courses et pratiquent leurs loisirs dans les nombreux
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