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Politiques culturelles

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Par   •  2 Février 2022  •  Cours  •  6 996 Mots (28 Pages)  •  392 Vues

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Politiques culturelles

La politique culturelle exporte des donnés représentatives de la culture nationale et encourage la coopération entre les pays.

La puissance d’un pays on la calcule à travers :

  • Le nombre d’habitants par rapport à la superficie du territoire- démographie
  • PIB (Produit intérieur brut)
  • Défense : armé, etc.
  • Influence internationale : on la mesure avec le rayonnement de la culture et de la langue

La diplomatie culturelle s’occupe de ce rayonnement et la langue d’un pays n’en fait aussi partie.

Pour ce qui concerne la politique étrangère : la diplomatie culturelle est une prérogative régalienne (attribut de bas de l’Etat). Quel sont les attributs d’un Etat, donc ?

  • Gendarmerie
  • Sécurité extérieure (armé)
  • Justice
  • Monnaie (Banque de France)
  • Droit (loi)

La politique étrangère et la politique culturelle sont définies par l’Etat. L’Etat essaie de défendre ses intérêts sur la scène internationale. Les relations entre deux pays se basent sur les traités qui sont un accord mutuel.

La coopération culturelle entre Italie et France est facile : ils sont deux Etats confinant, la culture est similaire, etc. La tendance actuelle est celle de faciliter les accords et on remarque que nous sommes passé d’un politique de rayonnement (ou chaque Etat pensait à soi-même) à un politique de partenariat qui favorise le dialogue et la coopération. Dialoguer en fait nécessaire vue que chaque pays (dans ce cas on parle de l’Italie et la France) a son budget, sa culture, ses propres traditions e ses spécificités.  On voit que la France dépense 0,7% (10 milliards d’euro) de son PIB pour la culture et pour la gestion et la création de culture. L’Italie dépense 0,3% de son PIB (2 milliards-700 millions).

En Italie le secteur culturel genre beaucoup d’argent et c’est très rentable. Cela donne aussi travail a beaucoup de gens. En France on dépense 435 euros de dépense culturel pour habitant. En Italie 110 euro et on le remarque que chez nous la culture est plus chère.

La compétition mondiale porte aussi sur les concepts, les idées, la langue (le secteur culturel donc). Ce secteur donne une vision du monde et en France on l’appelle réseau culturel : on confronte ce qui est décidé au niveau de l’Etat. Depuis les années ’90 on essaie même de créer des nouveaux opérateurs pour élargir ce secteur culturel :

  • Agence française du développement
  • Campus France
  • Institut français (création récente -2009-) qui s’occupe d’organiser l’intervention de la France à l’étranger. Dans chaque pays (dans la capitale culturelle normalement) il y a un siège de cet institut. La question est : pourquoi nous avons cette création ? Le but est d’améliorer la lisibilité de la France à l’étranger et pour une meilleure souplesse au niveau de la gestion

Et pour ce qui concerne l’Italie ? On a l’idée qu’elle soit « gentille » mais en fait elle très agressive en matière de vente culturelle. On passe a l’italien parce que on parle de l’Italie. Il punto forte dell’Italia è l’export. La Farnesina ha messo un pacchetto di azioni a sostegno di questo export. Bisogna ricordare che anche se vi è il principio di libertà è sempre lo stato che dà le azioni da seguire, anche nel settore culturale.

Il ministro italiano annuncia una vasta campagna di comunicazione e di country branding rivolta al pubblico internazionale: partenariati, coproduzioni con realtà culturali di vari paesi.

Il ministro afferma che “la rete degli uffici dell’Italia all’estero deve essere coinvolta in questo progetto, coordinato al centro e declinato secondo le diverse sensibilità culturali. Questa frase è piuttosto importante perché riassume il concetto di politica culturale.

On revient au français. Qui sont les acteurs principaux de la politique culturelle ?

Pour la gestion des affaires culturelles et extérieurs :

  • Ministre de l’Europe et des Affaires Etrangères (pour la France). N.B : diplomatie.gouv.fr (site important pour le stage)
  • Ministero degli affari esteri e della cooperazione internazionale (pour l’Italie)

Pour la gestion de la stratégie culturelle nationale :

  • Ministère de la culture (pour la France)
  • Ministero per i beni e le attività culturali per il turismo. MIBACT

Pour la gestion de l’enseignement culturel :

  • Ministère de l’éducation nationale -MEN
  • Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche – MESR
  • Ministero dell’istruzione, dell’Università e della Ricerca -MIUR

Il faut chercher sur google les noms de ces ministères parce qu’elle veut qu’on les sache.

En matière de politique culturelle on est dans une coopération européenne. Cela veut dire qu’il y a des principes valables pour tous les Etats de l’UE. Ces principes sont :

  • Liberté artistique. Il ne doit pas y avoir d’influence sur la création des artistes.
  • Culture = objet de politique publique. Il y a des lignes politiques à suivre et ces lignes sont dictées par l’Etat.
  • Préservation / Restauration du patrimoine bâti et des œuvres du répertoire national. Il faut préserver l’existant.

Mais donc s’il a des lignes politiques à suivre, comment on peut avoir une liberté artistique ? On voit ici que les politiques culturelles sont mécanisme très grande : il y a des pros, des effets positifs mais il y a aussi des contradictions comme celle que je viens de citer.  Ces principes sont un garanti de l’exercice démocratique et même si les Etats travaillent pas toujours ensemble, les pays sont doués d’administrations différentes qui gèrent la culture

Les dispositifs : cercle d’acteurs du secteur culturels :

Administration en charge de la culture :

  • Etat
  • Régions
  • Communes

Autres acteurs culturels :

  • Secteur privé (entreprises). Très connu en France
  • Associations
  • Fondations

Les communes apparaissent comme les premiers financiers d’activité culturelles. Il faut noter qu’il y a des spécificités locales : en Italie on reconnait les régions et la langue régionale parce que c’est dans notre tradition. Le patrimoine régional est fondamental chez nous.

En Europe, après la deuxième guerre mondiale il y trois phases :

  • Démocratisation culturelle et démocratie culturelle. 1950-1989
  • Développement de l’environnement économique et industriel de la culture. 1980-1990
  • Nouveau contexte de la globalisation économique/ Développement des NTIC des processus culturels ----Renouvellement des politiques culturelles

On assiste à une gamme de disciplines de plus en plus nombreuse : inclusion du tourisme, activités universitaires, etc.

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