Comment la science contribue-t-elle à résoudre le problème des changements climatiques ?

Comment la science contribue-t-elle à résoudre le problème des changements climatiques ?

Le réchauffement climatique concerne tout les humains présents sur la terre, mais il sera présent d’une manière considérablement accrue chez les générations futures. Plusieurs solutions à ces problèmes sont donc lancées mais seulement quelques unes sont réalisables à grande échelle. Cet essai portera sur les pièges à carbone, une des solutions envisageables pour réduire le taux de CO2 dans l’atmosphère.

Les puits de carbone, ou piège à carbone, sont des emmagasineurs de CO2, naturels ou artificiels. Ce sont des substances ou de matériaux ayant la propriétée, avec la photosynthèse, surtout durant leur croissance, de pouvoir absorber le carbone en circulation dans l’air et de stocker, à l’aide de l’énergie solaire, le gaz carbonique sous forme organique. Ils font partie de l’écosystème planétaire, car ils aident à régulariser le taux de carbone dans l’atmosphère, et par le fait même, influent sur le climat mondial. Par exemple, les océans sont des puits de carbone, il sont même les principaux puits de la planète. Ils sont d’une importance cruciale de nos jours avec la quantitée colossale de gaz carbonique dans l’atmosphère que l’humain rejette chaque année. Une partie de ce CO2 est alors rejeté à nouveau lors de la décomposition du puit s’il s’agit d’un vivant (arbre, algues etc.)

Les puits de CO2 sont une bonne solution pour le réchauffement climatique puisqu’ils réduisent le taux de gaz carboniques dans l’atmosphère. Selon Radio-Canada, les spécialistes croient que la meilleure solution serait de mettre sur pied des pièges à carbone puisque de plus en plus que les gaz carboniques s’accumulent dans notre atmosphère la chaleur peut donc de moins en moins s’échapper de la ‘’serre’’ qui est notre atmosphère, ce qui démontre que c’est un cercle vicieux et que les pièges à carbone sont une solution envisageable. De plus, plusieurs puits naturels comme tout forme de végétaux comme les arbres et les algues absorbent déjà une partie considérable du dioxyde de carbone émis par l’humain. Ces puits naturels sont extrêmement faciles à produire, il ne suffit que de les planter et d’attendre qu’ils poussent, emmagasinant du CO2 durant ce processus. De plus, cette solution est très peu coûteuse lorsque l’on parle des puits naturels, ou des végétaux, puisqu’ils produisent leurs propres graines dans la plupart des cas. D’ailleur, le processus de plantation et d’entretien peut être sans émission de CO2 , un autre avantage de cette solution. Un exemple qui démontre que les puits de carbone peuvent être efficaces est l’océan. Selon Futura Planète, les puits de carbones naturels, l’océan et la végétation terrestre, absorbent plus de 50% des émissions globales atmosphériques, ce qui représente quelques 3.2 milliards de tonnes de CO2 par ans. De plus, le bois utilisé comme puit de carbone peut servir, après sa croissance, de matériau de construction presque renouvelable selon Compensation CO2 Québec . Effectivement, les arbres pendant leur croissance, emmagasinent du gaz carbonique grâce à la photosynthèse. Il viendrait donc compenser pour le CO2 émis lors de son utilisation post-coupe sur les chantiers. Contrairement au béton ou à

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