Capitalisme et l'environnement.

Le capitalisme présente aussi des répercussions sur l’environnement de la planète. De nos jours, nous savons tous que les changements climatiques sont rendus à un point critique et qu’il faut agir pour diminuer les répercussions sur notre écosystème. Certains diront : « Pourquoi doit-on toujours imposer à l’homme ce qu’il doit faire alors que celui-ci peut innover, par lui-même, dans sa façon de protéger l’environnement. »3 L’homme capitaliste cherche le profit à tout prix. La précarité des emplois, tel que montré plus tôt, à aussi son effet dans l’environnement. Malgré le fait que les dirigeants d’entreprises adorent se prélasser au bord de la mer avec un environnement propre, ils ne sont pas capables d’agir de façon réfléchi en limitant leurs déversements chimiques, leur taux de CO2 ou autres étant donné qu’ils vont perdent des profits et les investisseurs à la bourse ne seront pas contents. Ce cas est encore plus d’actualité durant les derniers mois de 2015 avec le scandale de Volkswagen22. Malgré les réglementations environnementales mises en place par nos systèmes politiques, ils ne les ont pas respectées. Le gouvernement a aussi sa part de responsabilité dans la situation étant donné leur manque de présence au niveau de l’application des règlementations. Mettons de coté le gouvernement dans le cas qui nous concerne et concentrons-nous sur Volkswagen. Cette entreprise est la preuve incarnée que le capitalisme est trop important dans la population et qu’il tente d’enrichir un petit groupe de personnes au lieu d’aider l’ensemble des terriens. Selon les lueurs d’information récoltés jusqu’à ce jour, un petit groupe de moins de 10 personne auraient mis en place un logiciel qui permettrait de tricher sur les tests antipollution mis en place. En réalité, le moteur diesel du constructeur allemand émet plus de 40 fois d’émissions de Co2 que la limite permise. Pourtant, la compagnie présentait plusieurs publicités disant que le diesel était propre. Ce logiciel a été installé dans plus de 11 millions de voiture de la marque. Ainsi, le groupe Volkswagen a fait une fraude au niveau de l’environnement pour arriver à avoir le meilleur profit possible. Grâce à ce stratagème, il se trouvait au premier rang mondial dans le domaine de l’automobile en 2014. Cependant, la chute de l’empire approchait. Lundi le 21 septembre, le titre VW a perdu plus de 21% après l’annonce de la tricherie de la marque, ce qui représente près de 15 milliards d’euros, soit plus de 20 milliards canadiens en une seule journée. Malgré toutes les informations connus, le patron de Volkswagen se dit désolé de sa faute commisse. À quel point on peut voir que l’enrichissement d’un individu face au bien-être et à la santé de la société et des générations futures semble normal pour cet homme ? Cependant, avec le temps nous avons su que Volkswagen n’était pas la seule entreprise touchée par ce scandale étant donné qu’elle effectuait de la sous-traitance auprès d’autres entreprises. En effet, 12 000 travailleurs parmi de nombreux sous-traitants on sentit des répercussions sur ceux-ci. Principalement la compagnie Bosch. Après des recherches journalistiques, la compagnie Bosch a affirmé qu’elle était l’entreprise qui avait fourni le logiciel à la marque allemande pour fausser les résultats des tests antipollution. Pourtant, l’entreprise

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