Analyse d'article de presse

MOULAIRE Flora 1°G3

ANALYSE D’ARTICLE DE PRESSE:

Les genevois incités à verdir leur ville

L’article que j’ai choisi d’analyser est tiré du journal quotidien « Le Monde».

Il s’intitule « les Genevois incités à verdir leur ville ».

Il a été écrit par Sylvia Revello et a été publié le 14 février 2020.

Dans cet article, le projet participatif « Nature en ville » est abordé ainsi que les différentes démarches mises en place en Suisse dans le but de végétaliser les villes et de créer un urbanisme plus éco-responsable.

Ainsi, grâce à ce projet mis en place à Genève en 2013, plusieurs initiatives ont vu le jour, telles que des ruches et potagers au sein des villes et des écoles mais également des toits végétalisés.

On peut voir que l’auteur soutient ce projet dans le sens ou au cours de son article, elle le présente comme quelque chose de positif car il a des conséquences bénéfiques sur l’environnement.

De plus, elle le définie comme un bon moyen de sensibiliser la population, par la mise en place des graineteries par exemple.

Elle dit que « La nature doit retrouver une place capitale à l’heure du réchauffement climatique ».

Cependant, même si des initiatives sont mises en place pour changer l’urbanisme actuel, on peut voir que l’auteur considère ce projet comme insuffisant.

Avec les arguments qu’elle expose, on voit que l’auteur attend une prise de conscience globale.

Elle précise que ce projet devrait s’accompagner d’une vision plus durable de l’urbanisme.

En effet, elle souligne le témoignage de M.Gottschall dans lequel il dit que « vouloir réintroduire la biodiversité en ville et détruire dans le même temps des poumons de verdure pour construire des logements, c’est le comble de l’incohérence ».

Ainsi, on peut insinuer qu’elle soutient son témoignage, et donc qu’elle attend une mobilisation générale pour remettre en question l’urbanisme.

Ces actions certes louables restent de faible ampleur et il faudrait remettre en question l’urbanisme global de base si on veut qu’il y ait des conséquences sur le long terme.

L’auteur nous propose des arguments concrets dans son article.

En effet, elle met plusieurs références et chiffres clés, tels que le nombre de projets réalisés depuis que le projet participatif existe (72), mais également des noms de villes dont le projet s’inspire  

L’auteur nous présente comme arguments les différents aménagements qui ont déjà été mis en place au sein des villes (ruches, potagers dans les écoles, permaculture… )

De plus, elle met en avant des témoignages d’hommes politiques, de participants au projet ou encore d’un biologiste (Antonio Hodgers, Martin Schlaepfer, Christian Gottschal)

Ainsi, dans son article, plusieurs points de vues sont pris en compte, celui de la journaliste mais également ceux des acteurs politiques, écologistes ou encore biologistes.

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