Comment sortir de l’impasse et faire du travail un futur d’épanouissement qui donne un sens à nos vies ?

Synthèse sur le thème du travail

Proposition d’introduction

 Destiné à absorber l’essentiel de nos vies au point de s’y confondre, le travail, dans notre société en crise, est à la fois désiré comme une chance à saisir redouter comme une réussite à laquelle on ne peut échapper. Les documents que dont nous allons proposer une synthèse rappellent les deux rapports principaux que l’on peut entretenir à l’activité professionnelle, celui, subi, de la contrainte, de l’essai, de la souffrance, et celui, heureux, d’un épanouissement dans l’action et dans l’effort.  A l’exception de l’un d’entre eux, ils se font l’écho des remises en causes radicales dont le travail a fait l’objet au début des années 2000 pour donner suite à l’erruption de nouvelles formes de management et à la crise du travail qui en est résulté.

Comment sortir de l’impasse et faire du travail un futur d’épanouissement qui donne un sens à nos vies ?

Analyse du Document 1 (voir polycopiés)

1. Le paratexte

Le genre :

Il s’agit d’un essai :  écrit critique qui défend une idée, propose une thèse, une conception d’un sujet. Ici la fête dans son rapport au sacré (thème livré par le titre)

• Théorie de la fête : explication de ses origines / de sa fonction sociale.

L’auteur :

Écrivain et sociologue (spécialiste de l’étude de la société)

Date :

1950 = texte ancien encore d’actualité

Rappel du plan 

1. La crise du travail

1. Le travail en question : ligne 1 du tableau

DOC 1/2/6/7

1. Le culte de la performance et les limites de l’effort : ligne 3 du tableau

DOC 1/2/4

Introduction partielle

Les documents de notre corpus reflètent la crise qui affecte le monde du travail au début du 21e siècle.

Dans un article intitulé « France Telecom et le management par la peur », paru en 2009 dans la revue Psychologies, Margaux Rambert revient sur l’épidémie de suicide qui a affecté l’entreprise de télécommunications sous l’effet d’un nouveau moyen particulièrement agressif, un an plus tard, en 2010, Jean Luc Nothias et Pascal Serk publient sur le site du figaro « ce qui rend heureux au travail », article qui semble répondre  au centre d’échec dressé par leur consœur reprenant la démarche de Pascal Raignault en 2004  dans son essai Le sens du travail  ils proposent des pistes pour réhabiliter

https://1drv.ms/u/s!AiLZVVFQK597aEiECvcgJ2q7AZs

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