La vieillesse est une fatalité

Rédaction Français

La vieillesse est une fatalité.

Le vieillissement est un fait et non un besoin ou même quelque chose que l’on peut choisir. Cette évolution du corps humain peut être perçus différemment chez chacun. Certain ne voit aucun problème avec le vieillissement quand d’autre refuse catégoriquement de se voir vieillir. Nous avons plusieurs exemple explicite dans les documents étudier. Dans le document 1, nous comprenons très facilement qu’il s’agit d’une « difficile prise de conscience » le corps est comme l’ascension d’une montagne. Une fois que le sommet est dépassé alors nous redescendons vers la terre. Les effets du vieillissement se manifeste sur l’extérieur du corps, mais également à l’intérieur. La peau se flétrie, le corps se déforme (il se voûte), il se fragilise et se rigidifie.

Donner naissance à un condamné à mort.

La mort est une étape par laquelle tout le monde passe. Ce n’est pas une décision à prendre, mais une fatalité. La vieillesse amène doucement à cette phase. Le document 3 est à nouveau le parfait exemple, nous parlons d’une femme dont le corps est usé au fil de la vie quelle mène, la grossesse ainsi que la ménopause sont des périodes où le corps de la femme est très sollicité. Le fait de de pouvoir cacher toutes ces marques par le biais de cosmétiques ou d’artifices est une façon de se rassurer et de ne pas voir la vérité en face.

Le corps naturel est celui dont tout être dispose à sa naissance et qui ne subit pas de modifications extérieures. Pourtant, doit-on accepter l’évolution de son corps ? Je montrerai d’abord que dans certains cas il s’agit d’une obligation, puis que dans d’autres cas n’est pas nécessaire de l’accepter, voire il vaut mieux combattre cette évolution.

b) Première partie

Nous sommes obligés d’accepter les modifications de notre corps, premièrement puisque nous ne pouvons pas échapper aux différentes étapes de la vie que sont la croissances, l’adolescences, l’âge adultes et la vieillesse. En effets, si notre vie se déroules sans mort prématuré, notre corps subit ces métamorphoses contenues dans son programmes génétiques, ainsi les hormones de croissances ne sont plus produites vers l’âge de vingt ans

Deuxièmement, nous devons nous adapter à notre corps. Les besoins nutritionnels évoluent en fonction de l’âge et des besoins de chacun. Ils doivent être adaptés, un nourrisson ne mangera pas la même quantité ou les mêmes apport qu’un adolescent de 17 ans. De plus les capacités du corps diminuent également avec l’âge en fonction de la morphologie mais aussi en fonction de la sollicitation du corps durant sa vie. Il est forcément moins performant. Le corps peut également être sujet à des maladies, dont il ne pourra pas guérir comme du diabète de l’arthrose ou certaines maladies génétiques. Il devra s’adapter en maintenant une lutte permanente contre celle-ci et il peut être aidé par des traitements afin de le soulager.

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