Dévalorisation

INTRODUCTION : Tout le monde croit en l'amour mais qu'en est-il des autres émotions ? Tristesse, joie, colère, dégoût, peur, nombreuses sont les sensations interprétées par le cerveau et ressenti par l'homme. Par exemple, une boulangère qui s'approche trop près de son four, la sensation de chaleur petit à petit, lui brûlera les mains et son corps interprétera cette brûlure comme douloureuse. Maintenant, évoquons ce sentiment de mal-être, de douleur intérieure qui nous arrive d'éprouver. Que provoque-t-il ? Quelles en sont les causes et les conséquences ? Nous pouvons décrire cette sorte de dévalorisation comme un ou plusieurs complexes ressentis par rapport à notre physique, nos origines sociales, notre façon d'agir, de nous comporter… Quant au verbe dévaloriser, il signifie attribuer une valeur plus faible à autrui. Dans tout les cas, nous nous focalisons sur un élément auquel nous attribuons cette impression de dévalorisation. Or, si cette dévalorisation est une impression, comment est-elle née ? Quelles en sont les facteurs ? Au fond, l'enjeu est de savoir qui ou quoi provoque notre mal-être.

FACTEUR(S) : On ne naît pas complexé on le devient. Un écrivain ne naît pas écrivain mais apprends à écrire avant de le devenir. Dès le début de la vie, le sentiment de complexe s'exprime. Il peut dépendre de la place que nous avons dans notre famille, du regard que nos parents portent sur eux-mêmes ou bien sur nous. En effet, nos parents influent nos complexes. Ce sont eux qui nous donnent la vie, une partie de notre éducation, ce sont les premiers qui nous apprennent et nous permettent de parler alors bien-sûr leur rôle est important et difficile. La majorité des patrons dévalorisants leurs employés ont plus de chances de décourager et entraîner des effets secondaires que d'améliorer la situation de l'entreprise (plusieurs études le prouvent). En outre, un père dévalorisant son enfant ne lui permet pas de se remettre en question et de s'améliorer. Il attise juste la sensibilité de l'enfant et fragilise la barrière émotionnelle grandissante avec la croissance. Il est logique de ressentir une confiance en soi et une certaine fierté après une tâche complimentée et appréciée par autrui. En d'autre termes, un enfant mal dans sa peau réussira moins bien qu'un autre confiant. Bien-sûr la dévalorisation provoquée ouvertement par ses parents n'est pas le seul facteur. Cependant, l'attitude de nos parents est déterminante en bien ou en mal et c'est d'ailleurs pendant notre enfance que nous consolidons notre confiance en nous face à la vie…

AUTRE SUJET : On apprend de son entourage. Par exemple, un bébé apprend à marcher en observant d'autres personnes le faire. J'entends par là qu'être complexé provoque un mouvement de dévalorisation autour de nous. Or Pourquoi se dévaloriser ? Est-ce un moyen d'attirer l'attention, de se rassurer, d'exister ?

PETITE CONCLUSION : Trouver les facteurs et stopper ce sentiment de dévalorisation est un problème complexe à résoudre. Il ne faut pas oublier que le principal facteur est notre environnement puis l'interprétation que nous en faisons. Apprendre à décoder ses émotions ressenties dès le début de sa vie est un travail important qui se résous avec le temps sans

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