Entrainement sportif, la préparation mentale.

La préparation mentale                                               VERGER

Ce n’est pas magique. Il faut travaille régulièrement en réfléchissant sur sa pratique.

Cohésion – Cohésion sociale – Femmes…

Pour être performant dans une activité, il faut être fort mentalement. Si le physique va bien, alors le mental ira bien. Le physique et le mental sont indissociables.

Natation synchronisée : mental individuel mais aussi collectif car il faut être en symbiose avec ses partenaires.
Danse : 1er sport mental → Capable de changer d’espace.
Voile (à 2) : Mental c’est savoir travailler à 2, « Comment je vais pouvoir travailler avec quelqu’un dans des conditions qui sont des conditions extrêmes ? », « Comment accepter les décisions de l’autre ».

Parents, entraineurs, pairs, ..., relations.

Entraineurs : Quand on change d’entraineur, ce n’est pas toujours simple. Il faut accepter qu’il y ait un leader. L’entraineur est un élément prépondérant dans le domaine de la performance. C’est le 1er préparateur mental. Il faut accepter que l’autre soit différent.  Le problème c’est le toucher entre entraineur/entrainé, il y a des manières de faire.

Exemple : Philippe Lucas

Parents : Ce sont eux les responsables des aspects logistiques (amène les enfants aux entrainements…). Plus o va augmenter le niveau, plus ils vont s’organiser pour les amener. C’est le 2ème préparateur mental. Le choix que va faire l’enfant est souvent lié à l’éducation des enfants par leurs parents, et le sport des parents.

Pairs (copains – copines) : On va pratiquer, on va poursuivre la pratique alors que les copains vont abandonner. La croyance qui fait qu’on pratique une activité physique de haut niveau par notre propre choix, peut être remise en question par d’autres éléments qui nous influencent (abandon des copains).

Homme : Prise de risque et de décision → Travail d’équipe – machine

Exemple : VTT, sport de vitesse, auto, moto…

Réussir à haut niveau dans ces pratiques physiques demande un grand mental. Si on n’est pas sérieux dans cette préparation-là, on peut aller jusqu’à la mort.

Plan A – Plan B – Pression – Enjeux

Tennis : On a un ensemble de statistiques qui permettent de « lire » l’adversaire. Pour gagner l’autre, on travaille sur ses faiblesses et sur ses forces. On établit un plan A et si il ne marche pas on met en place un plan B.
Les échecs : Les gens sont capables de trouver tout de suite des stratégies, c’est le summum du mental.

La pression : Il faut savoir gérer le stress pour une meilleure efficacité (= MindFitness).

L’argent influence le comportement.

L’influence du public – stress… Emotions – Médias…

On ne réagit pas pareil en fonction de l’ambiance. S’il n’y a pas d’ambiance, on ne réagit pas pareil que s’il y en a.

Les médias : Ils ne sont pas là pour nous vendre, ils sont là pour vendre du papier → 2 Objectifs différents. Il faut limite préparer les réponses. Souvent interroger après l’effort donc pas souvent très lucide.

Exemple : Franck Ribéry

Le mental n’est pas une invention récente. Il est apparu avec la vie… et la survie.

Nos réflexes et certaines de nos conduites montrent notre appartenance à l’humain, ainsi qu’à notre histoire culturelle…

Certains de nos comportements appartiennent aussi à notre histoire familiale, culturelle… et nous différencient de nos voisins et voisines.

Ce mental dont tout le monde parle se travaille implicitement au fil des expériences, ou de manière explicité et se façonne en vue d’objectifs précis.

On apprend des choses sans s’en rendre compte. La préparation mentale ne se traduit pas des automatismes. Pour arriver à l’automatisme de la marche il faut entre 9  et 10 millions de pas. Donc le mental est très lié à notre histoire culturelle.  [pic 1]

Réussite sportive :

Performance réussie

• Facteurs environnementaux : extérieurs (terrain différent de d’habitude)
• Facteurs psychologiques : évaluer ses possibilités
• Facteurs sociologiques
• Facteurs génétiques
• Facteurs métaboliques
• Facteurs stratégiques – tactiques
• Facteurs techniques
• Facteurs institutionnels
• Chance

Les intérêts de la préparation mentale

• Concentration
• Communication
• Apprentissages (exemple : quand on est blessé, il faut apprendre donc on regardait des vidéos, on écoutait beaucoup les bruits : ski → Ce qui permet de maintenir l’activité nerveuse)
• Climat de travail (exemple : quand on va à l’entrainement à reculons car pas bonne entente avec entraineur)
• Motivation
• Contrôle émotionnel
• Confiance en soi
• Gérer les évènements perçus par le sportif ayant un fort enjeu
• Gérer l’environnement humain dans lequel on prépare et réalise la performance.

La préparation mentale

• Développementale : Psychologie qui s’intéresse à l’étude du développement humain
• Sport
• Enseignement
• Pédagogie 
• Psychologie
• Du travail
• Santé
• Sociale
• Intervention
• Entrainement[pic 2]

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Sportif = acteur
Entraineur, membres du staff, parents, pairs… = informateurs

Psychologie du sport

La psychologie du sport est un domaine d’études scientifiques, universitaires, présentant un ensemble des résultats et de travaux relatifs à l’activité motrice humaine.[pic 6]

Préparation mentale

La préparation mentale est la » Préparation à la compétition par un apprentissage d’habilités mentales et d’habiletés d’organisation, dont le but principal est d’optimiser la performance personnelle de l’athlète, tout en promouvant le plaisir de la pratique et en favorisant l’atteinte de l’autonomie » (Fournier, 1998)

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