TPE Mars Fiche Synthèse

Personnellement, je n’aurais jamais choisi un tel sujet. En effet j’aurais plutôt été attiré par des sujets de nature médicale, tels que les traitements innovants. Cela en prenant en compte mon objectif post-bac : médecine. De plus, je m’en doutais et cela s’est confirmé très vite, tout ce qui a attrait avec la terraformation de Mars ou de façon plus générale à la conquête de l’espace se révèlent être des sujets relativement « glissants ». Cela au vu du caractère hypothétique des projets et du peu d’informations fiables récoltées à ce jour. En rédigeant le dossier, j’ai eu de nombreuses fois l’impression d’écrire un roman de science-fiction (ce que je déteste). Mais nous avons eu beaucoup de mal à choisir, et ne voulant pas m’imposer au risque de braquer les autres membres du groupe, j’ai cédé. Nous avons souffert d’un manque de consensus au départ, ce qui nous a conduits à travailler sur un sujet qui, au final, n’a pas bénéficié d’un excès de motivation. Quoiqu’il en soit, nous sommes tombés d’accord pour traiter des défis de l’espace.

Ce sujet nous a immédiatement dirigé vers les sciences et vie de la Terre, surtout pour ce qui est de l’aspect « santé » (celle des astronautes, l’adaptation des organismes dans un environnement diffèrent,…). Pour répondre à notre problématique nous avons également pensé à la physique-chimie. En effet, il a fallu traiter des caractéristiques chimiques de Mars (composition du sol, différents états de l’eau et du CO2,…) mais des notions de physique ont été également utiles comme par exemple expliquer l’importance du champ magnétique pour dévier les vents solaires. Nous aurions également pu utiliser cette matière pour calculer des données concernant le décollage (quantité de carburant à fournir ou encore vitesse minimal de mise en orbite), mais nous n’avons pas eu l’occasion de le faire.

Poser une problématique, a en soi posé presque autant de problèmes que le choix du sujet (vous m’excuserez du jeu de mots presque involontaire). Nous avons fini par nous arrêter sur une idée de l’un d’entre nous : étudier la terraformation d’une planète. Ayant personnellement lu, dans le passé un dossier de Science et Vie Junior traitant précisément de ce sujet j’étais déjà un peu renseigné. Nous avons donc enfin établi notre questionnement : « comment et en quoi la vie sur Mars est-elle théoriquement possible ? ».

Nous avons commencé par faire des recherches autour du sujet central pour savoir de quoi nous parlions exactement, nous commencions une collecte d’informations (durant 2 ou 3 séances). Dans un deuxième temps, ces recherches se sont concentrées sur les manipulations possibles à réaliser en classe (au moins deux différentes). Cela n’a pas été simple car nous parlions de choses se trouvant à des millions de kms et dans des conditions difficilement reproductibles avec nos moyens d’élèves de première. Nous avons tout d’abord pensé à des modélisations (type de celle du système solaire) mais elles n’apportaient que peu d’éclairage à notre problématique. Après avoir fait des recherches personnelles, j’ai soumis au groupe une première expérience : l’étude de l’influence des UV sur les êtres vivants (unicellulaire et végétaux). Nous avons ensuite réalisé deux manipulations (protocole, expérience et bilan). Cela, car la première n’a pas été concluante (pas d’effet sur

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