Système nerveux et comportement responsable

DEVOIR MAISON DE SVT

Système nerveux et comportement responsable

Partie 1 :Le mode d'action du curare.

1) Hypothèse n°1, le curare empêche la conduite du message nerveux dans le nerf. Je pense que cette hypothèse est invalidée car il est indiqué dans le cas n°1 que lorsque le nerf est placé dans le curare et qu'il est stimulé le muscle se contracte. Il en résulte donc que la conduite du message nerveux est bonne car le muscle s'est contracter sous l'impulsion de la conduite du message nerveux par le nerf.

Hypothèse n°2, le curare empêche les cellules musculaires de se contracter. Je pense que cette hypothèse est invalidée car il est indiqué dans le cas n°2 que lorsque le muscle est placé dans le curare celui-ci se contracte quand on le stimule directement. Il en résulte que le muscle placé dans le curare se contracte lorsqu'on le stimule et donc que le curare n'empêche pas les cellules musculaires de se contracter.

Hypothèse n°3, le curare empêche le fonctionnement de la synapse neuro-musculaire (ou la plaque motrice, c’est-à-dire la zone de contact entre une fibre nerveuse et une cellule musculaire). Je pense que cette hypothèse est validée car il est indiqué dans le cas n°2 que lorsque le muscle est placé dans le curare il ne se contracte pas quand on stimule le nerf. Il en résulte que la synapse neuro-musculaire ne fait pas son travail de transmission du message nerveux de la fibre nerveuse vers la cellule  musculaire et donc que c'est bien le curare qui en est la cause.

Je peux donc d'après ces hypothèses en conclure que le curare n'a pas d'impact sur le muscle en lui même ni sur la conduite du message nerveux dans le nerf. Cependant le fonctionnement de la synapse neuro-musculaire est quand à elle impacté par le curare ce qui confirme le constat que le curare est un poison qui bloque la communication entre le nerf et le muscle au niveau de la synapse neuro-musculaire . Ainsi nous comprenons pourquoi le curare paralyse les muscles des humains et des animaux.

Partie 2 :Système nerveux et comportement responsable.

2) Le document 1 compare la teneur cérébrale en BDNF chez des rats qui ont fait de l’exercice physique pendant 7 jours et chez des rats sédentaires. Les résultats sont sans appels un rat ayant fait de l'exercice physique possède une concentration en BDNF d'environ 250 pg/ml en revanche un rat sédentaire possède une concentration en BDNF d'environ 150 pg/ml soit approximativement 40% de production de BDNF en plus chez un rat ayant fait de l'exercice. Le BDNF est une substance chimique produite par les neurones du cerveau. Il maintient les neurones en vie et intervient dans la formation de réseaux de neurones. Il a donc une action protectrice sur le cerveau. J'en conclus donc que l'activité physique a un effet bénéfique sur le cerveau.

3) Le document 2 est un schéma de la modulation de la production de BDNF. Il nous apprend que premièrement les glandes

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