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Salon de taouage - étude anthropologique

Étude de cas : Salon de taouage - étude anthropologique. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Avril 2019  •  Étude de cas  •  1 044 Mots (5 Pages)  •  607 Vues

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L’endroit que nous allons étudier est un salon de tatouages de piercing qui se nomme « ****** ** » et que l’on peut retrouver à Lyon. Ce salon est placé à un endroit stratégique : il est sur la place et entourés de nombreux autres commerces. En effet, nous pouvons retrouver sur cette place une esthéticienne, une boulangerie, une fleuriste, une pizzeria, un bureau de tabac presse, une pharmacie, un salon de coiffure ainsi que des restaurants- bars, une école. Cette place est un lieu de passage : elle est entourée de divers parkings, de divers arrêts de bus qui favorisent les flux d’individus et c’est à cet endroit que se réunissent les gens pour diverses organisations dans le cadre d’associations pour faire du sport, récolter de l’argent par le biais de stands (repas, bars en plein air). C’est aussi au sein de cette place qu’il y a la mise en place de marché de fruits et légumes le mardi matin. Cette place est un lieu de vie : nous pouvons y retrouver des bancs, cela peut être favorable aux commerces car quand les gens veulent se reposer et s’assoir, ils ont une vue directe sur les différentes vitrines de commerces ce qui peut leur donner envie d’y rentrer. Ce petit local est essentiellement un salon de tatouages et de piercings mais nous pouvons aussi y retrouver des vêtements de saisons, de la maroquinerie et des bijoux (bijoux de piercing mais nous pouvons aussi y retrouver des colliers, des bracelets, des bagues...) ce qui peut amener des clients qui ne veulent pas forcément aller se faire tatouer ou percer et donc des clients différents de ceux qu’elle a de base. C’est un lieu où on se sent à l’aise, avec des fauteuils pour s’assoir comme dans un salon de thé mais aussi possibilité de s’assoir au comptoir où l’ont peu retrouvé les différents tarifs et modèles de tatouages, de plus la patronne est très accueillante, propose des cafés aux clients, ce qui les met directement à l’aise et peut favoriser son commerce. La cabine de piercing est un lieu fermé, où ne nous peut pas voir alors que la salle de tatouage est grande, avec une grande baie vitrée : on peut ainsi voir la personne se faire tatouer, on observe le travail du tatoueur, comme de l’art on s’initie dans sa profession, on peut voir comment elle procède, les différentes réactions du client (s’il a mal, s’il a peur) mais si celui-ci le veut, un long rideau peut être déployé afin qu’il reste seul avec la tatoueuse. Cette pratique peut faire changer le regard du client sur le tatouage, le rassurer et peut l’influencer à un faire un dans le cas où les clients seraient venus plutôt pour le commerce qui s’est formé autour (vêtements, bijoux...) car son regard se tourne directement dessus, les clients sont très intéressés. Selon Claude Lévi-Strauss, « l’anthropologie est une discipline dont le but premier, sinon le seul, est d’analyser et d’interpréter les différences » nous allons donc voir les divers comportements des clients au sein du salon. Lorsque le client doit patienter, celui-ci fait différentes choses : certains lisent les différents livres présents sur l’histoire du tatouage où l’on peut y voir leur évolution avec l’air du temps, mais les filles en majorité regardent la deuxième partie du salon (vêtements, bijoux maroquineries). Les nouveaux clients eux se concentrent sur l’ensemble du commerce mais se focalisent aussi beaucoup sur la décoration

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