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Les limites de l'apologue

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Par   •  28 Février 2013  •  992 Mots (4 Pages)  •  1 210 Vues

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limites de l’apologue.

Pour tenter de répondre à ces différentes questions, nous allons tout d’abord aborder le but attrayant de lire un apologue, et sa force argumentative, notamment en nous appuyant sur des récits de grands auteurs comme Lafontaine avec « Les animaux malade de la peste » ou bien encore « Les huitres et les plaideurs » et « La laitière et le pot au lait » mais également avec Voltaire, ces auteurs n’ont pas hésitez à mettre en scène des personnages souvent atypique, dans des histoires ou tout lecteur peut s’identifier et alors plonger dans une certaine forme de rêverie et sortir de son quotidien ,Ils jouent sur le ton humoristique pour attirer le lecteur et l’intéresser du début à la fin. Puis nous évoquerons la portée instructif de ce récit .Enfin nous poserons les limites de ce genre, qui est apprécier par de nombreux lecteurs.

Tout d’abord, ce genre a séduit et séduit encore est toujours de nombreux lecteurs, qui sont attirés par sa fantaisie et son histoire, qui rend l’apologue généralement vive et dynamique, mais également par l’ironie du narrateur qui est souvent présente. Les grands auteurs ont tentés de nous intéresser tout en livrant une morale, à travers leur récit et leurs personnages. La fontaine a dit « Hommes, dieux animaux, tout y fait quelque rôle. » cette phrase a une portée symbolique car elle nous démontre bien la réelle motivation de cet auteur dans l’apologue, nous allons donc aborder différentes fables de celui-ci pour comprendre le côté plaisant à lire, mais aussi les différents procèdes qui permettent une réelle vivacité qui captive alors le lecteur tout au long de sa lecture.

Tout d’abord parlons de la fable « L’huître et les plaideurs », ce récit qui retrace la « rencontre » de deux pèlerins qui se disputent pour avoir une huitre, nous avons rapidement l’apparition d’un aspect très plaisant qui s’appuie sur le ton humoristique de par la rage de plaider nos deux pèlerins mais également de l’aventure. La structure de cette fable joue un rôle fondamental pour permettre d’avoir une certaine vivacité, en effet en seulement deux vers, le décor et les personnages qui sont les pèlerins nous sont présentées lecteur est donc directement plongé sur dans cette histoire, il n’a pas le temps de se poser des questions. Au fil de la lecture le ton humoristique est présent de par l’objet de convoitise de nos deux pèlerins avec notamment l’enjambement du vers 2 qui souligne ironiquement l’objet de la convoitise des deux compères, une huître, qui est l’objet du litige. Mais les deux plaideurs par leur comportement et leur discours, témoignent d’une certaine forme de moquerie de la part de notre auteur a l’égard de ces deux hommes, nous sommes alors nous aussi plonger dans cette vision ridicule face aux deux pèlerins .Nous avons notre premier plaideur qui apparait rapidement comme un homme un naïf , utilisant un langage familier , populaire comme en témoigne l’expression « Celui qui le premier a pu l'apercevoir » « En sera le gobeur ; l’autre le verra faire ».On comprend que La Fontaine n’hésite pas à mettre en avant le ridicule de nos personnages , il se moque de nos deux plaideurs la répétition de « vue » vient renforcer cette idée mais aussi avec l’antithèse entre « vue » et « sentie » (vers 13-14) ,l’enjambement

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