Faire face à des pleurs de patients

Dans cette phase explicative, le but est d’expliquer, d’analyser mon comportement face aux pleurs du patient. Mais, dans un premier temps, j’ai trouvé intéressant d’évoquer la situation du patient ce qui permet de comprendre pourquoi ce dernier s’est mis à pleurer.Dans cette phase explicative, le but est d’expliquer, d’analyser mon comportement face aux pleurs du patient. Mais, dans un premier temps, j’ai trouvé intéressant d’évoquer la situation du patient ce qui permet de comprendre pourquoi ce dernier s’est mis à pleurer.Face aux pleurs, le tact est important ainsi que l’engagement de notre réponse aux pleurs, de notre authenticité, de notre présence. Il est important de laisser la liberté aux larmes. Il est nécessaire d’être présent, attentif à la douleur qui se dit par les larmes. Le toucher est également important. Il permet de montrer à la personne en souffrance que nous sommes présents, à l’écoute.

La relation est le lien tissé entre deux ou plusieurs personnes. Il y a un émetteur et un récepteur, et ce ne sont pas toujours les mêmes, il y a des allers et retours de l’un à l’autre.

Dans ma situation, je pense avoir entravée la relation dans le sens où il n’y a pas eu d’aller et retour. J’ai simplement répondu à la question de Mme B. sans attendre de retour de sa part.

Le soignant, c’est celui qui tente de guérir ou tout du moins, de soulager des souffrances physiques et morales. Le soignant idéal serait bien évidemment celui dont l’intervention permettrait de guérir définitivement, malheureusement le soignant ne peut qu’aider le patient à préserver son capital santé et à vivre mieux. Il s’agit donc d’être, pour le soignant, dans une relation d’aide.

Le soigné, c’est celui qui souffre ou qui est malade. Si le soignant est principalement celui qui sait, le patient est avant tout celui qui ressent. Pourtant, le ressenti du soignant est également très important, parce que c’est en fonction de son ressenti qu’il réagit.

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