Exposé ecrit de « Va pour treize ! »
Commentaire de texte : Exposé ecrit de « Va pour treize ! ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar LLLouise • 16 Mars 2016 • Commentaire de texte • 2 027 Mots (9 Pages) • 743 Vues
LIU Yi
Exposé ecrit de « Va pour treize ! »
La « tradition » des desserts de Noël en Provence
Introduction :
Noël, c’est la fête principale des Provençaux. La Provence posséde une tradition très ancienne et particulière: dans le réveillon de Noël, après la messe de minuit, les provençaux mangent treize sorte de desserts. Çela symbolise que Jésus partage la Cène avec ses douze apôtres. Puisque cette tradition produit au Moyen Age, à cette époque là, la Provence est à la maison des divers secte ascétique concentrée, donc de nombreux desserts sont divisés et considérés comme leur propre aliment représentatif, avec une profonde et riche symbolisme.
« Treize desserts » fait partie de « gros soupers » dans la vigile de Noël malgré que touts les plats est végétariens. Tous le monde dans la region provençale célèbre cette fête et ils le respectent comme une tradition. En fait, le chiffre « treize » qui existe depuis dizaines d’année n’a pas une longue histoire. Mais son origine remonte au 17e siècle, il s’appuie sur quelques éléments qui ont existé dès cette époque et après, avec les innovations, la tradition ajoute les élements nouveaux intégrant aux éléments anciens.
Développement ( selon le trace de l’article) :
- Le composition de « treize desserts » et leur statut
Il y quels plats qui composent le « teize desserts » et dans le Provence, quel statut possédent-ils? Selon le musée des Arts et Tradition populaires du terroir marseillais, il nous donne une liste de « treize dessert » : pommes, poires, verdoù ( melon vert conservé dans le grain ), raisin frais, sorbes, nougat blanc ; nougat noir, amandes noisettes figues sèches pompe à l’huile et raisins secs. Ce sont des aliments de Provence réservés pour l’hiver.
Et puis, c’est interessant de discuter le statut de « treize desserts » . Premièrement, étant donné que les raisins, melon d’hiver, pommes, poire .etc, sont plus pratique de conserver dans les caves ou les grenier domestique pour une prévision pour tout l’hiver. Donc les Provençal faites son choix. Deuxièment, en raison de l’influence de sortes de matériaux par la rythme de saionniers, beaucoup de Provençaux aiment bien choisir la production domestique et planter des fruits qu’il aime dans son terrioir. Il devient une habitude pour maintenir les matériaux qu’il est indispensable d’apparaître sur leur table chaque année. Troisièment, il est assez important de sorte d’interdire les fruits exotiques.
Dans cet article, il cite un terme générique de « mendiants » , il ne manque pas de quatre mendiants à Marseille dans la veillée calendale et après, il recouvre en Provence. Il est composé par quatre fruit sec : amandes, noix noisettes et raisons secs.
Le pachichoi designe aussi ces fruits secs. Non seulement quatre mendiants est une tradition, ils aussi symbolisent les différents sects : le noix représente les Augustins, l’amandes représent les Franciscains, le figue représent les carmes et le raisin sec représent les Dominicains (Référence àWikipédia ). Dans la tradition, si la couleur de ces fruits rappelle la couleur des robes des quatre ordres religieux qui vivaient de mendicité, il faut toutefois noter que ces vêtements et leurs couleurs ont évolué avec le temps (Référence à l’article de Tradition de Noêl en Provence sur le site de la ville d'Aix-en-Provence) . Ces aliments confient la signification importante, donc son statut devient de plus en plus importante dans cette region.
Par ailleurs, les fruits sec existent généralement sur la table caldendale. Fréféric Mistral cite que un dessert qui s’appelle « nougat du berger » ou « nougat du pauvre » , fourrit une figue avec une noix ou une amande. Il est plus connu. Ce dessert arrête la liste des produits qui représentent les gens riche et faite les personnes mémoriser le propre valeur.
- Une collision avec les sucreries et mets festifs dans les treize desserts
Les sucreries est la principale d’élément composant les treize desserts. Ils utilisent beaucoup de sucre avec l’atmosphère de fête.
Dans cet article, il cite un dessert très connu dans les trezie desserts. C’est la pompe à l’huile, le dessert central, qui est presque obligatoire dans le menu de Noël. « Il est une sorte de fouace, réalisée sur la base d'une pâte à pain et on doit ajoute du sucre, de l'eau de fleur d'oranger et de l'huile d'olive. Mais la pompe à l’huile n’ai pas un seul moyen à réaliser. Chaque famille a sa propre recette. Elle est transmet de génération en génération comme une culture immatériel. Distingué avec le gibassié, la pompe à l’huile est un dessert pour Noël mais le gibassié est un gâteau quoiditien. En paticulier, un boulanger de Méounes fait une distinction spécialisée dans les différence apparence entre eux : la pompe à l’huile est plus allongée avec l’odeur de l’anis mais le gibassié est plus rond avec l’odeur de l’anis et sablé. Dans l’histoire,le developpement de la pompe de l’huile a ses hauts et ses bas. Après avoir attestée par le prêtre Françoise Macrchetti en 1683, ce dessert tombe dans un situation embarrssante ( Je ne trouve pas la raison ). Jusqu’aux les années 30, des marchands de Pelissanne recommence à vendre la pompe. Aujourd’hui, la pompe de l’huile a de plus en plus populaire en Provence.
De plus, un autre dessert, le nougat noir (ou appelle « naugat de ménage » ) a une position comme le roi parmi les treize dessert. Il se vend bien dans Noël.
En outre, le boisson, cela ne manque pas dans le Noël. Accompagné avec les treize dessert, le champagne est bienvenu en Provence maintenant. Avant, le boisson traditionnel très célèbre dans cette région, c’est le vin cuit. C’est une spécialité de Palette (près d’Aix ), le vin cuite est commercialisé en 1822 par Ferdinand Houchard. Pourquoi il est en décadence ? C’est parce que cette commercialisation sera arrêter avant 1960 à cause des taxes et des complications administratives. Actuellement, il y a des producteurs se sont essayés avec bonheur à la fabrication de vin cuit, malgré que ils rencontrent des difficultés et aient failli tomber. Le seul raison dont il existe, c’est la bonne qualité (Référence à l’article de Tradition de Noêl en Provence sur le site de la ville d'Aix-en-Provence). Je pense que le vin cuit va prendre sa position.
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