CULTURE GÉNÉRALE CITROEN
Cours : CULTURE GÉNÉRALE CITROEN. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar inconnitooo • 22 Février 2017 • Cours • 525 Mots (3 Pages) • 590 Vues
Première partie : synthèse concise, objective et ordonnée des documents.
Document 1 :
Le titre du premier document est « La nouvelle Citroën ». C’est un extrait d’essai la « Mythologies » écrit par Roland Barthes en 1957.
L’auteur décrit l'engouement des Français pour le modèle qui vient de sortir de Citroën « la Déesse ». La DS est considérée comme un objet culte, elle incarne à la fois une perfection et une absence d’origine et elle fait partie des merveilles.
Elle est comparée à nos arts ménagers. Elle est décrite comme un objet matériel, concret : les voyants, les leviers, le tableau de bord, le volant).
Elle est plus conçu comme confort plus que comme performance.
Elle est à la fois spirituelle et plus objective.
La DS est découverte par deux sens : le toucher (les portes caressées, les coussins pelotés) et la vue. Elle est comparée à une chose, un corps séduisant que tout le monde peut toucher (prostitué).
Document 2 :
Le titre du deuxième document est « La voiture : un objet symbole ». C’est un article de blog écrit par Emmanuel Pages en juillet 2009.
La voiture est un moyen de locomotion utilisé tous les jours. Il y a des véhicules commercialisé à « bas coût » privilégiant la fonctionnalité mais dont le succès n’était pas sûr « nul n’était certain au départ de l’engouement pour ces véhicules ».
Elle passe d’objet à sujet (personnifiant).Le texte parle de proximité. Elle est considérée comme une personne. C’est une voiture-corps car le conducteur fait corps avec sa machine.
Avoir en possession une voiture permet d’exister socialement. La voiture relaie le corps parce qu’elle l’incorpore.
Les citoyens préfèrent posséder une voiture plût que de louer malgré que ce soit plus avantageux.
La voiture que l’on possède reflète notre statut social.
Document 3 :
Le titre est « Suicide au parc ». C’est un extrait d’une nouvelle tirée du recueil Le K., écrit par Dino Buzzati en 1967. C’est un texte littéraire.
Le texte nous parle du virus de l’automobile. L’auteur parle de Stéphane, son ami qui avait une immense passion pour les voiture de « race », jusqu’à même transformer sa femme en voiture pour lui plaire.
Une voiture sensuelle qui prend des valeurs féminines. Stéphane assouvit ses désirs.
Tout ceci est maladie. Pour Stéphane il n’y a que la voiture qui compte et rien d’autres (ni travail, ni vie de famille, ni vie sociale…)
« Faustina cette adorable femme l’avait planté là. Et il n’en faisait pas un drame. »
Stéphane veut se sentir valorisé « Le désir ensuite, l’envie folle, l’idée fixe, l’obsession d’une voiture d’élite, très belle, puissante, ultime, difficile, surhumaine, à faire se retourner
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