Médicaments psychotropes
Analyse sectorielle : Médicaments psychotropes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar agalparsoro • 9 Mars 2015 • Analyse sectorielle • 1 262 Mots (6 Pages) • 698 Vues
LE DESSOUS DES PSYCHOTROPES
Les psychiatres disent avoir fait beaucoup de progrès dans leur domaine, la psychiatrie. Ces progrès ont un nom, les psychotropes. Les psychiatres ne sont pas vraiment considérés comme des médecins, en effet il y a une différence très importante. Les psychiatres veulent etre considérés comme des médecins, or les médecins s’appuyent sur des preuves cliniques pour justifier l’existance de la maladie puis pour ensuite préscrire un médicament, mais les psychiatres non. Les preuves justifiant qu’on a un trouble mentale n’éxistent pas, c’est le psychiatre que en décide sur notre santé mentale. On peut se demander donc: les psychotropes visent-ils a soigner quelque chose où est-ce un moyen de faire de l’argent?
1) Un marketing très bénéfique
Le marché des psychotropes rapporte gros. L'alliance entre la psychiatrie et les firmes pharmaceutiques leur a permis de réaliser plus de 80 milliards de dollars de ventes de psychotropes. En 2008 la France a été championne du monde en consommation de psychotropes .Voici les faits derrière le marketing de la psychiatrie et son vernis social.
D’une part, il fauit savoir que dans la psychiatrie, les petits problemes de la vie quotidienne sont considérés comme problèmes traitables. Donnons des exemples: la timidité est appelée par les psychiatres: trouble de l’anxiété sociale, la perte d’un proche: trouble dépressif majeur, la nostalgie: trouble d’angoisse de séparation, les hauts et les bas: trouble bipolaire.
Or comment prouver l’existance de ces troubles chez l’individu?
En médecine il y a des preuves d’infections bacterielles, de tumeurs, os cassés, etc. Les medicaments donnés visent donc à soigner quelque chose. Dans le cas de troubles d’anxiété, trouble dépressif, trouble bipolaire et autres, il n’y a pas de preuves visibles, les psychotropes visent donc quelque chose qui n’existe peut etre pas., ou du moins on n’a pas les moyens de le savoir quand on est chez le psychiatre.
Ces medicaments psychotropes causent plus de 700.000 reactions graves par an, à l’origine de 42.000 décès par an, et representent une somme de 330.000.000.000€. Maintenant la question est la suivante:
Comment ont ils réussi a convaincre les docteurs et le grand public a utiliser des drogues avec de nombreux effets secondaires pour affronter les difficultées de la vie quotidienne?
L’origine est le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux ou DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders). Il s’agit d’un document historique ayant beaucoup évolué, qui classe les différents troubles mentaux ainsi que les symptomes. Le premier DSM parut en 1952 et regroupait 60 “maladies” différentes, ensuite le second en regroupait 145 en 1968 parmi lesquelles se trouvait l’homosexualité (qui après un vote a été enlevée). Le troisième comportait 292 diagnostiques, en 1980. Le dernier, le quatrième est parut en 1994 et comportait 410 troubles. Soit, le nombre de maladies a été multiplié par 7 en l’espace de 40 ans.
Certains qualifient cette technique et l’apèllent: “vente de maladies” qui consiste à convaincre des gens sains qu’ils sont malades, ou des gens faiblement malades, qu’ils sont gravement malades. Par exemple, le trouble bipolaire au DSM 3 affectait à 1 personne sur 1000 selon les statistiques du manuel. De nos jours ce trouble touche 1 sur 10. Soit 100 fois plus de personnes. Avec des données pareilles les gens s’identifient beaucoup plus facilement et se croient plus vulnérables, plus facilement touchables par ces troubles.
D’après les statistiques, 1 million d’enfants souffrent d’un trouble bipolaire. En 2007, 500.000 antipsycotiques (substances très fortes réservées à des troubles très graves) pour 20.000 enfants agées de moins de 7 ans ont été vendus → ce qui represente 22.8 BILLIONS (228.000.000.000) de dollars
450 millions de personnes souffrent d’un trouble mentale d’après les psychiatres de l’organisation mondiale de la santé.
100 Milions de personnes prennent des psychotropes → ce qui engendre 150.000 $ toutes les minutes.
Si on peut faire de l’argent avec le marketing de psychotropes remediant des troubles, on peut en faire encore plus à l’aide d’un marketing de psychotropes que PREVIENNENT ces troubles. Et cela éxiste déjà.
D’autre part, les entreprises pharmaceutiques doivent respecter la loi, et nécéssitent faire preuve de l’innofencivité du produit. Pour pouvoir comercialiser un médicament il faut qu’il soit efficace et inofenssif, il faut donc faire des tests. Or, les essais sont réalisés par des laboratoires
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