L’importance d’appliquer une approche éthique dans le domaine de la recherche médicale durant une période de pandémie mondiale

PRENOM : RADHWANE

FILIERE : SCIANCES SANITARES ET SOCIALES

ANNEE : LICENCE 3

TITRE : E61SS51V : Bioéthique 2 – Examen S2 – Session 1

SUJET : A l’aide des différents principes de bioéthique vus en cours, expliquez l’importance d’appliquer une approche éthique dans le domaine de la recherche médicale durant une période de pandémie mondiale.

Le virus COVID-19 a modifié notre mode de vie, notre méthode de pensée et même notre culture, la pandémie a bouleversé la vie des milliards personnes sur la planète, le lien social qui était un agent de plaisir, s’est considéré actuellement un agent mortel, les gestes barrières, le port du masque, les crises économiques …, la pandémie continue de progresser, lorsqu’une vague est terminé dans un secteur, une autre vague commence dans un autre secteur. L’homme va-t-il appliquer n’importe quelle solution pour sauver sa vie, pour rester en bonne santé et pour revenir plus vite à la vie classique quel que soit le prix ? ou ils vont respecter la dignité humaine, droits de l’homme et libertés fondamentales, droit et réglementations des droits de l’homme, risques et bienfaits des savoirs et pratiques autochtones, enfin les déclarations et instruments internationaux qui prônent cette diversité et pluralisme ?  Les recherches médicales ont bénéficié de nombreuses collaborations interétatiques pour lutter contre ce virus. L’éthique c’est la partie de la philosophie qui est basée sur l’éducation de la morale et de mœurs, avec ses types sui peuvent analyser, évaluer et développer les déférentes conceptions de la morale partager par des spécialistes de plusieurs disciplines : médecins, psychologues, juriste … etc. Au milieu de cette course vers l’indépendance de l’homme d’un côté et le pensé sur la victoire économique d’autre coté qui peut influencer les individus, peut-être l’environnement et la génération future sur plusieurs points. Quelle est l’importance d’appliquer une approche éthique dans le domaine de la recherche médicale durant une période de pandémie ?

La promotion de la santé et du développement sociale ce sont des droits fondamentaux de chaque individue, et un objectif principal des gouvernements, notamment dans cette pandémie pour favoriser l’accès aux soins de santé de qualité et aux médicaments essentiels, l’accès à une bonne alimentation, l’amélioration des conditions de l’environnement, la lutte contre la marginalisation et les inégalités sociales, l’amélioration du niveau de vie dans l’intérêt de la santé « Un état de complet bien-être physique, mental et social, [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité » (OMS). Selon l’UNESCO il est du rôle des gouvernements, mais également des différents acteurs de la société, de promouvoir la santé en permettant à tous d’y avoir accès car cela relève d’un droit fondamental et inaliénable de l’être humain. Et selon la déclaration universelle des droits de l’homme, article 25 « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bienêtre et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, le logement et les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires […] ». La santé est très importante dans son objectif d’accès aux soins de qualité, de développer et de lutter contre les impacts dans la société (l’impact de la pauvreté, la problématique d’accès aux soins dans une partie importante de la population mondiale, protection des populations vulnérable, le financement mondial pour améliorer la recherche…). Le respect de la santé est un devoir, une obligation et une responsabilité au niveau gouvernementale (la constitution ou l’instrument fondateur, les accordes avec les autres gouvernements, les obligation internationales …), et au niveau individuel (les lois, les règlement…).

Dans cette période difficile pour tout le monde, on doit renforcer la solidarité et le lien entre les personnes de la communauté, et les relations individuelles, en respectant les geste barrières et de ne pas exposé les autres aux risques de contamination « responsabilité de groupe qu’à la collectivité de prendre soin de ses membres les plus faibles et les plus vulnérables. » (Unesco), prendre en compte que la solidarité implique de prioriser la collectivité à l’individuel, et elle va profiter aux plus vulnérables sans que cela profite aux autres mais aussi il faut lutter contre tous les obstacles existants et les éléments qui  mettent en péril  les notions de la solidarité tel que : la multiplication sensibles pour les individue et du fait du vieillissement de de la population, la pauvreté et la pression croissante de marché, l’érosion des communautés locales et des réseaux familiaux élargis, qui modifie les relations personnelles et sociales … , pour garantir la pérennisation du groupe. Renforcer aussi la coopération et l’unité avec les autres communautés, pour l’aide économique, recherches, sanitaires, technique et financière entre les pays développés d’un part, et entre les pays développés et les pays en développement, pour une bonne entente entre nations, et créer ainsi un sentiment de cohésion et d’unité entre les différents groupes dans cette crise mondiale et notamment dans la recherche médicale, car ces deux notions ( solidarité, coopération), mises en rapport avec la recherche médicale sous-entendent l’importance du partage et de la diffusion des connaissances et des avancées technologiques dans ce domaine, contrairement de ce que nous avons vu concernant la course et (la guerre) pour ce qui va gagner le premier et sauver sa vie ( piratages des masques, des lits de réanimation, la vaccination…) . Ici, le groupe social d’appartenance concerné est l’ensemble des êtres-humains et le but idéaliste est alors de faire prospérer l’ensemble de l’humanité à travers le partage des ressources scientifiques, pour aller aux résultats de façon plus vite et avec des moyens plus réduits.

Toujours dans l’objectif recherche médicale, le partage des bienfaits est très important, avec la société dans son ensemble et avec la communauté international : l’accès aux soins de santé de qualité, donnes médicamenteuses thérapeutiques ou diagnostiques, renforcer les systèmes de santé, développer le savoir et le savoir-faire par le partage des connaissance et les avancés scientifiques et technologiques et tout ce qui induise une amélioration de condition de vie humaine, selon plusieurs modèles d’accords sur le partage des bienfais induit par le principe de justice globale : options justes et équitables pour les sujets de recherche, bio piratage et partage équitable des bienfais des ressources génétiques, brevets et propriété intellectuelle, options valables pour promouvoir un accès juste et équitable à de nouvelles modalités diagnostique et thérapeutiques ou aux produits en découlant,   malgré les inégalités et les échanges entre les puissances mondiales ont problématisé ce partage des bienfais ( la capacité financière pour le domaine scientifique, pour les produits médicamenteuses…).  Les participant aux recherches ont bénéficié de leur participation en ayant accès aux résultat concrets des études auxquelles ils participent, mais ne doit pas être inciter, pour justement ne pas induire un biais au principe consentement éclairé, et ne pas toucher au principe d’autonomie.  Le partage des bienfais et bien précisément les avancés des recherches médicales   dans cette pandémie est nécessaire afin d’assurer la pérennité de l’humanité.  

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